theatrelfs
Jeudi 10 juin 2010 à 7:10
I le texte et le langage de la comédie
1.1
Jeudi 3 juin 2010 à 12:02
PB: en quoi le théâtre Nô est-il ancré dans la tradition japonaise ?
I - Histoire du théâtre japonais
a) son apparition
A la base, le théâtre, qui était appelée « danses des signes », était interprétée dans la rue, un peu à la volée et le but était de divertir les passants et les voyeurs. Mais au fil du temps ce théâtre des rues sympathique devins dramatique et est plus porter pour la classe noble. Par la suite que le théâtre Nô fut inventé et créer par « Maître Zeami ». Mais il demeures toujours des pièces comiques mais qui n’est pas tournés pour le même public.
Comme avant ceux qui représentait les personnes noirs était des blancs mais enduit de couleurs noir pour la vraisemblance ; le théâtre japonais qui n’acceptait pas les femmes sur scène, envoyait à la place des petits jeunots.
Mythes (A FINIR)
On retrouve le théâtre souvent sous quatre formes différentes, ainsi :
Le théâtre Nô. Il date du XIVème Siècle et c’est du drame lyrique.
Le théâtre Kyôgen. Il date également du XIVème Siècle et c’est du théâtre Nô, mais sous la forme comique.
Le théâtre Bunraku. Il date du XVIIème Siècle et c’est du théâtre de marionettes.
Le théâtre Kabuki. Il date également du XVIIème Siècle et c’est le l’opéra comique
b) son évolution
Effectivement le théâtre japonais touche à la religion, étant donnée que les spectacles sont des offrandes aux Dieux.
Selon une légende japonaise, les japonais craignaient le sombre, les nuages et lorsque tout se couvrait, cela voulait dire un mauvais présage arrivé. Ils décidèrent de trouver des solutions. Ainsi, les théâtres seraient joués pour faire sortir « Amaterasu », la déesse du soleil, de la grotte dans laquelle celle-ci se cache. Lorsque les japonais se sont mis à faire du théâtre, donc toutes sortes de chants et de danses ; la déesse fit un pas en dehors de sa cachette et découvrit à sa grande surprise plusieurs autres Dieux, qui étaient en train de faire la fête. Tous dansaient et chantaient, ainsi elle les rejoignit pour s’amuser. De ce fait le japon fut illuminé car Amaterasu, en sortant de sa grotte leur avait apporté lumière et ainsi sérénité.
Depuis ce jour les japonais qui désirs le soleil, jouent du théâtre, de manière à ce que la déesse du soleil sorte de sa grotte pour s’en aller se distraire et leur apporter au passage la lumière. On dit que grâce au théâtre que le monde n’est plus plongé dans le noir des « ténèbres », dont il sont effrayés.
Le théâtre Japonais apparaît au 15e Siècle grâce au épopée qui fut leur source d’inspiration, mais il était déjà présent à partir du 10e Siècle.
Le théâtre est une sorte de bénédiction pour le peuple japonais, effectivement grâce au théâtre qui serrais à la base servis pour les Dieux, ferait sortir la Déesse du soleil « Amaterasu ». Le théâtre est donc, même si il n’a pas une place de premier rang, d’ordre important au sein de la société japonaise, qui suivent les croyances des anciens.
c) grands auteurs et grandes pièces(A FINIR)
TRANSITION AVEC LES THEMES DU THEATRE JAPONAIS PUIS DU NÔ PLUS PARTICULIEREMENT :
Le No est un genre au théâtre japonais.
Le théâtre Nô a été inventé et fondé par un père et son fil, Kanami (1333-1384) et Zeami (1363-1443),, au alentour du demi-Siècle du XIVème. C’est Shôgun Ashikaga Yoshimitsu, qui leur demanda de créer ce genre.
C’est de l’art théâtrale qui est tourné vers le dramatique. Les danses et déplacements très lent et une musique plutôt aiguë, voir stridente ; fait avec des instruments du japon. Les chants sont simples, mais plutôt grave, articulé et lent. Le tout est de donnée une allure dramatique à la pièce de théâtre.
Ce genre de théâtre vise les classes noble, c’est l’aristocratie qui est visée. Effectivement le Nô est composé de plusieurs centaines de pièces ( environ 250 ).
D’un point de vue religieux, c’est un genre qui est inspiré du bouddhisme.
Les pièces sont jouées modestement et en pleine air. Un premier acteur vient sur scène pour installer le décors et situé l’action dans le temps et raconter un peu se qui est en train de se passer, cette homme s’appelle un waki. C’est lui qui entonne le premier chant. L’acteur principales soit un shite, arrive une fois le décors posé et l’intrigue expliqué. Il porte un masque, change de vêtements souvent marche et parle très lentement. Après le chœur doit répéter pour les spectateurs d’une manière plus intelligible ce que viens de dire le shite. Toutes les danses et déplacements sont extrêmement lents. Le Nô est composé de cinq actes, il dure donc assez longtemps ; c’est pour cela que trois pauses font fait durant la pièce. Pour indiqué que l’on change d’actes, l’acteur principale tape du pied sur le sol.
Si le Nô n’est pas joué dans la rue, il est alors joué sur une estrade protégé. Tout cela toujours modestement. Le décors reste également simple. Les musiciens sont quatre et sont situés au fond de la scène, le chœur lui est placé à droite.
Jeudi 3 juin 2010 à 11:10
II. La comedie et les rapports qu’elle entretient avec son public.
Notre point de depart consistera en l’analyse du theatre comique de Moliere et les enjeux qu’il represente:
- En quoi consiste le comique de Moliere ?
=> Le theatre de Moliere consiste en une remarquable synthèse entre deux courants jusque là divergents: le premier est issu de Plaute, celui de l’ancienne farce qui se carracterise par le seul desir de faire rire en presentant une image caricaturale du monde. Le second est issu du theatre humaniste, la correction des moeurs grace a une peinture fidele a l’homme.
Cette synthese lui procure une large palette d’effets comiques ou l’on peut distinguer le comique de gestes et de mots issu de la farce, et le comique de moeurs permettant une satire sociale.
- Analysons maintenant en details le comique de Moliere:
=> On peut distinguer trois grandes formes de comique:
1. La satire du ridicule => qui sous entend la conception morale de la comedie.
2. Le comique de fantaisie => qui se fonde sur le principe du monde renverse du carnaval.
3. Le comique de l’absurde => qui se base sur la mise en abime d’une vision du monde ou le rire est la seule reponse du public devant la folie du monde.
- Quelles sont les particularites de Moliere ?
=> Moliere utilise a merveille le “ridicule”. En effet a cette epoque, nous sommes dans le courant de l honnetete qui invite chacun a s’observer afin de deceler les divers ridicules auxquels il convient d’echapper. Pour Moliere le rire produit par ce ridicule est la clef de voute de son theatre. Selon lui la comedie doit faire rire, faute de quoi, elle serait sans objet. Dans cette perspective, l'éclat de rire du public est le signe que la peinture des ridicules humains est vraie.
Moliere est aussi le premier a avoir brise l’illusion theatrale du “quatrieme mur” de maniere a accentuer le rire du public. Par ce moyen il amplifit les rapports entre comediens et spectateurs pour un impact plus directe. C’est ce que l’on appelle le rire de conivence ou l’on joue avec cette illusion, ainsi, le personnage semble avoir conscience de la prescence du public ( ex: L’avare qui cherche son voleur et s’adresse directement au public dans la salle ).
- Quels sont les differentes fonctions du rire pour Moliere ?
=> Le rire revêt différentes fonctions et significations dramatiques dans le théâtre de Molière: il correspond le plus souvent à une sanction morale du public à l’égard d’un ridicule qu’il s’agit de fustiger, non sans cruauté parfois; sont ainsi visés quelques uns des errements de l’homme considérés comme des accidents, tels que l'hypocrisie, l'avarice, ou le snobisme.
Mais au dela du rire et de ces differentes fonctions, sa volonte est d’etendre les ambitions du theatre comique ou il voudrait que la comedie ne se contente plus seulement de faire rire, mais aussi de rivaliser avec le genre serieux. Il veut emouvoir les spectateurs ce qui etait neuf dans l’histoire dramatique. Le rire alors qui en resulte est parfois pour le moins ambigu, entre le comique et le pathetique, comme le remarque Musset: “Quelle mâle gaieté, si triste et si profonde que, lorsqu'on vient d'en rire, on devrait en pleurer”.
Le fait de faire rire est aussi un moyen pour les auteurs de faire passer un message a travers leur piece. Ceci n’est pas forcement facile, avec l exemple de Dieudonne, un comedien contemporain qui a evoque le probleme israelo-palestinien dans son show et fut interdit de representation par la suite. Cependant le rire rend plus leger n’importe quel sujet dramatique, c’est en cela que beaucoup de comedies sont engagees. Nous pouvons prendre l’exemple L’ecole des femmes de Moliere ou L’avare qui sont deux pieces qui ont pour but de dennoncer et faire changer les moeurs. Ce genre de sujets restent recurrents et toujours d’actualite car ce sont des vices carracteristiques de l’homme, c’est en cela que c’est un genre universelle indemode et indemodable.
(Romain F.)
Mardi 11 mai 2010 à 8:21
Partout dans le monde, le théâtre fait partie des patrimoines nationaux. Il s'inscrit dans l'histoire des sociétés, les mœurs, les traditions. L'île de Bali, en Indonésie, n'est pas une exception : son théâtre se caractérise par une immense richesse en regroupant musique, danse, marionnettes et masques; le théâtre à Bali s'ancre fermement dans la culture de l'île.
Problématique ?
Extraits de spectacles :
http://www.youtube.com/watch?v=D4C3TJobyhk&feature=related
http://www.baliauthentique.com/Bali_de_a_a_z_le_topeng_theatre_masque_et_danse.htm
http://www.passion-theatre.org/cgi-bin/pti_lol/spectacle/affiche/fiche.pl?id_planning=8925
À Bali, la danse est une offrande aux dieux où le danseur devient medium entre le monde humain et le monde divin. Contrairement à d'autres formes scéniques balinaises qui s'inspirent des épopées indiennes du Mahâbhârata et du Râmâyana, le topeng raconte les histoires du Babad, chronique des royaumes indigènes.
Les Topeng sont des spectacles de danses de masques qui commémorent les exploits des guerriers du passé et dont le plus impressionnant est le Djauk (ou jauk). Le Djauk est le solo d’un danseur jouant le rôle d'un démon dont le masque terrifiant est une véritable œuvre d'art. Ses mouvements, rythmés par les gongs, s'immobilisent dès que s'arrête la musique. Ils sont marqués d'un caractère inquiétant et surnaturel par de longs ongles transparents prêts à saisir une proie. L'inspiration de la danse est puisée dans le Ramayana.
Le Rāmāyana qui signifie en sanskrit « le parcours de Râma » est la plus courte des épopées de langue sanskrite composées entre le IIIe siècle av. J.-C. et le IIIe siècle de notre ère. Constitué de sept livres et de 24 000 vers, le Râmâyana est, avec le Mahâbhârata, l'un des écrits fondamentaux de l'hindouisme et de la civilisation indienne. Le Rāmāyana raconte la naissance et l'éducation du prince Rāma qui est le septième avatar du dieu Vishnou, la conquête de Sîtâ et son union avec elle. L'œuvre raconte également l'exil de Rāma, l'enlèvement de Sîtâ, sa délivrance et le retour de Rāma sur le trône.
EDIT :
Citations d'Antonin Artaud, Le Théâtre et son Double (« Sur le théâtre balinais »)
« En somme, les Balinais réalisent, avec la plus extrême rigueur, l'idée du théâtre pur (où tout, co,ception comme réalisation, ne vaut, n'a d'existence, que par son degrés d'objectivisation sur la scène ».
« Nouveau langage physique à base de signes et non plus de mots »
« Théâtre purement populaire, et non sacré ».
Sur la musique : « Extrêmement appuyée, anonnante et fragile, où l'on semble broyer les métaux les plus précieux, où se déchainent comme à l'état naturel des sources d'eau... »
« Les bruits sont comme l'achèvement naturel des gestes ».
Topeng veut dire Masque en Bahasa indonesia. C'est un théâtre à la fois masqué, chanté, et dansé. Né aux alentours du XVIIème siècle. Les histoires se passent au temps des rois de Bali.
Rituel traditionnellement, aujourd'hui aussi festif. Transmet des enseignement éthiques ou idéologiques, la « morale de l'histoire » est toujours importante. Presqu'improvisé : les acteurs choisissent l'histoire juste avant d'entrer sur scène.
Les MASQUES pleins sont muets :
-le Roi : masque blanc=pureté, unité
-le ministre violent
-le vieux dignitaire
Les demis masques sont parlants : ce sont les valets (traducteurs, narrateurs, metteurs en scène) et le peuple.
Les ACTEURS sont des hommes car il y a peu de références aux femmes dans la littérature dramatique balinaise, et les rôles sont donc en majorité masculins. Cependant il ya une troupe de femmes très connue à Bali, fondée par C. Wistari, artiste italienne.
MUSIQUE : l'orchestre est sur le côté, bien visible.Les plus long Topéng commencent au coucher du soleil et finissent au lever.
Le topeng Padjegan : un danseur, seul, il a tous les rôles et change de rôle devant le public (dure 2 heures).
Langage très visuel, facile à comprendre (apprécié des touristes !) -->pour le peuple, tous les gens de culture balinaise.
Clémentine K
Mercredi 21 avril 2010 à 16:02
Le Kathakali, théâtre classique originaire du Kerala, au Sud de l’Inde, est un théâtre dansé sacré tirant ses origines des danses populaires régionales : le Kalarippayat, et des spectacles rituels d’origine dravidienne : le Kutiyattam. L’un des aspects les plus intéressants de ce théâtre est l’élaboration des maquillages, costumes et l’ensemble de la gestuelle, qui constituent un code très précis. Ce code permet aux spectateurs de connaître les caractères des personnages et de comprendre l ‘histoire. Les danses quant à elles, sont accompagnées d’un orchestre composé de deux musiciens et deux chanteurs narrant l’intrigue, car les acteurs (exclusivement masculins) ne parlent qu’à travers la gestuelle des mains et du visage.
Une centaine d’histoires classiques de kathakali, cependant seules les plus populaires d'entre elles sont jouées, ce qui réduit leur nombre au tiers. En voici une…
Kalyana souganghikam
Bhima, fils du dieu du vent, se met à la recherche d’une rare fleur, sur Terre, la fleur Sougandhika (d’où le titre de l’histoire), afin de l’offrir à sa bien aimée : Panchali. Alors, il inspecte le magnifique bosquet de Kadali, et après n’avoir vu personne, Bhima décide de détruire le jardin afin d’y retrouver le gardien. Ainsi, ce dernier pourra lui indiquer l’endroit où cueillir la fleur et comment procéder.
Au même moment, dans le même jardin, Hanuman, fils singe aîné du dieu du vent, et frère de Bhima, médite. Mais il perd vite sa concentration en entendant le bruit monumental de cette destruction. Il s’interroge… Puis il reconnaît Bhima, son frère. Et pour restreindre la réussite de son frère dans sa quête, il se met en travers de son passage. Mais Bhima ne s’énerve pas, et attend.
Plus tard, le singe cède, et après avoir annoncé à Bhima qu’il était son frère, il lui donne sa bénédiction et l’aide finalement à trouver la fleur Sougandhika.
De gauche à droite : Bhima, et sa femme Panchali.
==> On peut trouver d’autres histoires telles que le Keechakavadham (une autre histoire de Bhima et Draupadi, cette fois-ci travaillant déguisés), le Kiratham (le combat de Arjuna et de la déesse Shiva, dans le Mahâbhârata), le Karnashapatham (le Mahâbhârata).
[J’apporterai plus tard des précisions sur ces autres histoires…]
Dans la plupart des cas, une scène d’amour introduit l’intrigue (dans le cas du Kalyana souganghikam, Panchali demande amoureusement à Bhima de lui rapporter la fleur). On retrouve par ailleurs les mêmes thèmes majeurs : conflits, rivalités et combats, relations amoureuses, le tout, à l’image du monde des mortels.
Aujourd’hui, de nouvelles histoires ont été créées en s’inspirant de thèmes religieux (aussi bien de l’indouisme, bouddhisme, et du christianisme), de grands auteurs (Shakespeare, ou de thèmes d’actualité (Gandhi, la guerre du Japon, même Hitler…)
Clara.a
Jeudi 15 avril 2010 à 12:28
Théâtre et Religion chez les Grecs :
Le théâtre grec a une origine religieuse : le culte de Dionysos, le dieu du vin, des arts et de la fertilité. Des cérémonies avaient lieu trois fois par ans, elles s’appelaient les dionysies.Les trois principaux festivals de théâtre étaient les dionysies champêtres, de décembre a janvier, les Lénéennes, de janvier a février , et enfin les grandes dionysies. Les dionysies champêtres étaient organisées dans les dèmes de l’attique : les dèmes pauvres se contentaient d’un cortège, les plus riches mettaient sur pieds des concours tragiques ou comiques.Les Lénéennes étaient purement athéniennes et beaucoup moins panhelléniques que les grandes dionysies et ne comportaient pas de concours de dithyrambe.Enfin, les grandes dionysies avaient lieu a Athènes, duraient cinq jours de suite du lever au coucher du soleil a raison d'un auteur par jour, ceux qui y assistaient entièrement pouvaient entendre plus de vingt mille vers sans compter les dithyrambes. Elles commençaient par une procession, suivie d'un sacrifice et d'un banquet. Un concours de dithyrambes, poésies chantées et dansées en l'honneur de dieu, précédait les concours dramatiques proprement dits. Après un nouveau sacrifice, au théâtre cette fois, on tirait au sort les juges qui, a raison d'un par tribu, auraient a se prononcer a l'issue des quatre jours de représentation : trois pour la tragédie et un pour la comédie. Chaque poète tragique présente une tétralogie, c'est-à-dire trois tragédies (en principe sur le même sujet : ainsi l'Orestie d'Eschyle, seule trilogie qui nous soit parvenue, comprend l'"Agamemnon", "les Choèphores" et "les Euménides") et un drame satyrique. Pour les comédies, cinq poètes présentaient chacun une pièce ; les spectateurs assistaient donc à quinze, voire à dix-sept pièces en quatre jours. Une tragédie comporte : un prologue, l'arrivée du choeur (parodos), des épisodes (ou actes) séparés par des chants du choeur (stasima) et un acte final avec sortie du choeur (exodos) ; au total, le plus souvent, cinq "actes" qui sont à l'origine des divisions des tragédies françaises. La comédie d'Aristophane offre à peu près les mêmes divisions, mais comporte en plus une parabase où le choeur, en "civil", interpelle le public au nom du poète (Aristophane, Acharniens). Avant la représentation, la troupe défile devant le public ; la statue de Dionysos est tirée de son temple et placée sur le théâtre ; enfin arrive un héraut proclamant le nom du poète. La représentation commence très tôt le matin, peu après le lever du jour. On s'y rend la tête couronnée comme pour une cérémonie religieuse ; chaque spectateur reçoit à l'entrée un jeton portant une lettre de l'alphabet désignant la section des gradins où se trouve sa place (chaque tribu a sa section). Le prix d'entrée est très modique (deux oboles = quelques francs) et permet d'assister à toutes les représentations de la journée, soit, avant le coucher du soleil, quatre ou cinq pièces, chacune jouée sans entracte. A la fin du concours, dix juges tirés au sort votent ; sur leurs dix votes, on en tire au sort cinq qui constituent le jugement définitif....pas toujours accepté du public d'ailleurs (Platon, les Lois). Trois prix sont décernés dans chaque catégorie, tragique et comique : au poète, au chorège et au protagoniste. Les vainqueurs reçoivent une couronne de lierre et dédient à Dionysos un ex-voto ; il en subsiste un à Athènes : le monument de Lysicrate. Le gagnant, auteur ayant écrit la meilleure pièce était récompensé par un bélier.Le théâtre grec a pour origine le culte de Dionysos, dieu de la fertilité et du vin. Des dithyrambes, processions, danses, chants, et paroles en vers a la gloire des héros grecs, avaient lieu autour de son temple sur l'agora dans la région de Corinthe. Lentement, un lieu spécifique s'intègre au temple pour les représentations théâtrales. La tradition raconte que Thespis, auteur du VI e siecle av. JC, qui se produisait près d'Icaria, révolutionna le dithyrambe : il introduit le premier acteur, le protagoniste. Pendant que le cœur chantait, l'acteur intercale des vers parlés. Le protagoniste joue tous les rôles : c'est la forme primitive du théâtre. Eschyle introduit le deutéragoniste (2eme acteur) et Sophocle le tritagoniste (3eme acteur). Cette forme de théâtre connut un développement très rapide. En effet, dès 538 av. JC, Prisistrate organisa le premier concours athéniens de tragédies. Au temps du développement de la philosophie et de la démocratie, le théâtre devient sujet a des interrogations politiques.
Mais on célébrait toujours Dionysos au temple, et son culte restait aussi toujours présent au théâtre. Non seulement le théâtre contait les mythes et les fables et se déroulait pendent les dionysies et les Lénéennes,mais en plus, le théâtre était instauré de manière a communiquer avec les dieux.
Jeudi 15 avril 2010 à 12:20
De plus des écoles ont été créer pour faire continuer cette tradition japonaise, parmi les jeunes qui désir apprendre cet art.
Jeudi 15 avril 2010 à 12:19
Acteurs et rôles :
Dès le début de ses études, l’acteur doit choisir quel type d’acteur il veut être jusqu’à la fin de sa carrière. Il existe quatre différentes catégories de types d’artistes dans le théâtre Nô qui elles-mêmes sont divisées en plusieurs rôles. Les deux types d’acteurs les plus importants sont le shite, qui fait partie de la catégorie des shitekata et qui est le personnage principal, et le waki qui est le secondaire, faisant partie de la catégorie des acteurs wakikata. D’ailleurs, toutes les écoles d’acteurs sont spécialisées dans une sorte d’artistes. Il y a par exemple les écoles Kanzé, Kita et Konparu pour les shitekata, celles de Takayasu, Fukuô et Hôshô pour les wakikata, celles de Ôkura et Izumi pour les kyôgenkata et enfin, celles d’Issô, Kô, Kadono et Komparu pour les hayashikata (les musiciens).
Le personnage principal, le protagoniste appelé le Shite, peut interpréter toutes sortes de rôles : un dieu, une femme, un vieillard, un enfant etc. Sa nature est ainsi évoquée grâce à son costume ou à son masque. Le Shite est d’ailleurs le seul a porté un masque ce qui consiste à ce que l’attention du public soit plus focalisée sur lui que sur les autres personnages. En plus de cela, il est toujours accompagné du personnage Waki qui l’incite à danser pour ensuite, aller au coin de la scène et laisser au public le plaisir de contempler le personnage principal. Ainsi, contrairement au Shite qui est appelé « celui qui fait » et « celui qui agit », le Waki n’est que « celui du côté ».
Ce dernier, qui est un rôle secondaire, est toujours représenté par un homme politique (le daijin-waki), soit par un homme religieux (le sô-waki) ou soit par un homme ordinaire (le otoko-waki). Ainsi, comme il l’a été dit précédemment, le Waki a pour objectif principal de donner au Shite une bonne raison pour danser.
Costumes :
Les costumes du théâtre Nô sont appelés shozoku et sont à la base, des vêtements de cérémonies des nobles et des samouraïs du XIV – XVIe siècle............. PAS FINI
Jeudi 18 mars 2010 à 8:55
L' ATTELLANE
A l’époque gréco-romaine, le théâtre était un des seuls moyens de divertissement et nombreuses étaient les pièces qui y étaient jouées. Tout le monde pouvait s’y rendre : hommes, femmes, enfants, esclaves. Tandis que l'État appréciait le théâtre car il faisait régner l’ordre en ne montrant que des pièces jouées en faveur de l'État, les citoyens et non-citoyens qui venaient au théâtre l’appréciait pour la diversité des thèmes de ce dernier. Au milieu d IIeme siècle avant J-C, de nombreux types de pièces étaient jouées dans le théâtre romain. Toutes les pièces devaient divertir les gens dans le but de leur trouver un exutoire à leurs émotions, soit par le rire (comédies), soit par les larmes (tragédies). Un des types de pièces les plus appréciées était l' attellane.
L' atellane est un genre théâtral latin qui apparaitra tout d'abord en Campanie avant d'être importé puis joué à Rome. Elle puise ses sources dans la Comédie Nouvelle dont elle reprend les costumes en caricaturant parfois les masques de façon outrancière. Les pièces étaient joués en osque, un dialecte de la Campanie, une région d' Italie méridionale d'où est originaire le genre.
C' est une courte farce, une pièce improvisée par des jeunes de bonne famille portant un masque et incarnant des personnages de convention comme les personnages types Maccus, Bucco, Dossenus, ou encore des êtres monstrueux comme des ogres. Les pièces étaient essentiellement caricaturale et les personnages étaient grossiers.
Ce genre donnera naissance à la Commedia dell'Arte dont les personnages de Pantalon et Polichinelle sont issus. Les nombreux personnages types comme Maccus, Dossenus, ou encore Bucco sont aussi inspirés de la Commedia dell'Arte.
Le demi-masque utilisé dans les attellanes permettait de conserver son anonymat lors d'une pantomime ou au début de l' atellane. Le théâtre grec mettra d'avantage à contribution les masques entiers. Empruntés à la vie quotidienne, les thèmes étaient très simples. L' atellane séduisait par son caractère familier et se servait de l’obscénité pour faire passer des messages aux spectateurs.
Emilien B
Jeudi 11 février 2010 à 11:01
Travail préparatoire du dossier des terminales : La comédie de Molière à nos jours
Définition Comédie
La comédie est une pièce destinée à faire rire, qui n'adopte ni le ton de la farce, ni l'absence de texte écrit de la "comedia dell'Arte". Elle est née dans la grèce ancienne et vient du grec komoida et des cérémonies chantées liées au culte de Dionysos.
après un blanc de plusieurs siècle on le trouve au XVI siècle avec "Plutus" (1539) de Ronsard, d'après un texte d'aristote. Cette pièce fut apparament la première comédie en langue française.
citation molière "elle [la comédie] corrige les moeurs en riant"
Les différentes problématiques sur le sujet
Problématique principale : comment a évolué la comédie de Molière à nos jours?
Problématiques secondaires :
Quels sont les différents sous genres du théatre comique?
Y a t"il des décors ou des styles de décors propre à la comédie?
Quels sont les styles de costumes les plus utilisés dans la comédie?
Quelles sont les différences entre la comédie française et les autres styles de comédie que l'on peut trouver dans le monde?
Qu'est ce que le théatre de l'absurde?
Y a t'il des règles qui régissent la comédie?
Quel est le role du publique dans la comédie?
Comment fonctionne le théatre de l'absurde ?
Est ce que briser le 4 eme mur peut avoir un effet comique?
Est il important de ne pas briser le 4eme mur durant la comédie?
En quoi la farce s'éloigne t-elle de la comédie?
Comment le langage est il utilisé dans le genre comique?
Quel est l'attrait du non langage pour le théatre comique?
Comment mettre en scéne une pièce comique ?
Qu'est ce que le théatre de l'action et son lien avec le comique?
Quel sont les enjeux du théatre comique?
Jeudi 11 février 2010 à 9:20
Chaque groupe devra rédiger, en commun, un mémoire d'une dizaine de page sur un thème proposé :
En seconde : théâtre et dramaturgie à l'époque gréco-romaine.
En première : les théâtres d'Asie (Japon, Chine/Vietnam, Inde, Indonésie).
Les prochains compte-rendus devront être déposés aux dates suivantes :
Comptant pour le second trimestre :
Joséphine Masson — 14 janv.
Joséphine Gillet — 21 janv.
Gaspard Thièblemont — 28 janv.
Emilien B. — 4 févr.
Clémentine Delhote — 11 févr.
Chloé Duvivier — 4 mars
Comptant pour le troisième trimestre...
Axelle Lopez de Arias — 11 mars
Vassolo Camille — 18 mars
Clara Adiceom — 25 mars
Mélanie Lacroix — 1er avril
Claire Goldblum — 8 avril
Koenig Clémentine — 15 avril
Vassalo Camille — 22 avril
Vendredi 13 novembre 2009 à 3:11
On a fait une italienne du texte, qui n'était pas sus de tous, on est donc partie à l'amphithéâtre pour le travailler ; pendant que les couples de slaves travaillaient leur entrée et leurs gestuelles ( tout ça sans un bruit, ni un mot : c'était un travail de silence, savoir
que l'on peut faire beaucoup sans les paroles, mais en exprimant ce que l'on veut faire passer au spectateur par la forme ). Les couples de Slaves était accompagné de la voix, qui est jouée par Julia : elle devait parler et annoncer ce qu'ils faisaient.
Pendant ce temps les autres travaillaient leurs textes par petit groupe. " Il faut savoir le dire dix fois d'affilés, sans se tromper, à la virgule près. Connaître son texte c'est pouvoir le dire en marchant, en faisant la vaiselle, sous la douche, allonger, debout, en chantant ; tout ça sans un accros .. "
O.Massis. On l'a donc dis et redis et répété avec les gens avec qui on devait le dire. Mais à la fin, on trouvait un peu le temps long ..
C'est alors que Mr. Massis appella Romain pour qu'il travaille son entré sur scène. cette fois-ci ont étaient tous concernés parce qu'il fallait l'aider. Comment montrer qu'on est en colère, ( encore sans paroles et sans bruits ). se poser des questions : que fait-on lorsque l'on est énervé ?! essayer de trouver .. qu'est ce qui est mieux : la colère blanche ( impassible et froid, cependant remplis de haine ) ou la colère rouge ( qui monte petit à petit, pour finir par littéralement exloser ) [ élèves de Term, j'en appelle à vous cours de philo .. je me suis trompée ?! ]. Donc cette semaine lorsque vous vous énerverez, pensez bien dans quel état vous êtes, pour aider et suggérer.
Puis le cours c'est terminé.
Claire G`
Dimanche 8 novembre 2009 à 12:31
Durant la première heure, nous avons travaillé individuellement notre texte d'Etat des lieux. C'est juste après que Michel Azama nous a rejoint.
Nous avons tout d'abord parlé de la pièce Iphigénie ou le péché des Dieux qu'il a lui-même écrit en 1989 et que nous avons joué l'an dernier. Après avoir regardé un montage photo de la pièce, Michel Azama nous a posé quelques questions pour connaître le verdict des spectateurs et bien entendu, celui des acteurs. Romain, Clémentine, Claire S, Claire G, Margaux et moi étions les seuls restants de l'année dernière. Globalement, nous avons tous répondu à peu près la même chose : un début très difficile à l'approche du texte assez complexe, aux différents rôles du choeur car chacun pensait avoir un "petit rôle sans importance", le terme "tragédie" qui nous effrayait beaucoup, la peur de la réaction du public et enfin, la bonne performance des représentations qui était très incertaine ; cependant, une vision très évolutive au fil du temps : nous avons appris à bien comprendre et interpréter le texte, à bien "former" nos personnages, à y prendre goût sans se plaindre du "petit rôle" puisque l'on s'est vite rendu compte de la grande importance du choeur, et enfin, au fil de l'année, de plus en plus de confiance en soi. C'était ensuite aux des spectateurs de commenter cette pièce : un mauvais présentiment à la vue du décor et du langage très soutenu, mais la plupart affirme s'être fait "prendre par l'histoire", et au final, avoir un exellent point de vue sur la pièce :)
PAS FINIIIIII !!!
C'était ensuite à notre tour de lui poser des questions. Le sujet était sur le théâtre en général mais il a très vite bifurqué sur sa vie personnelle : de quoi s'inspire-t-il pour écrire ? A-t-il déjà été déçu de certaines représentations de ses pièces ? etc. etc...
Et c'est enfin que nous avons eu droit à un grand privilège : l'écouter lire quelques extraits de sa nouvelle pièce qu'il n'a même pas enocre publié : Dissonance.
Mélanie
Dimanche 18 octobre 2009 à 11:01
La scene.
Un des decor...
... autre decor.
Les acteurs...
Roh Ma In, le notable.
Roh Ma In le notable et sa cour.
Roh Ma In et une de ses fans!!
Le cintre (un peu rate).
La regie...
... son musicien ...
... ses instruments de musique ...
... ses projecteurs. Envois le 12!!!!
La loge.
Costume...
... et accessoires.
Merci, nous avons passe un bon moment
en votre compagnie.