theatrelfs

Jeudi 20 octobre 2011 à 13:26

 Alfian Sa'at
(18 Juillet 1977)
 
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Alfian Sa'at est un dramaturge et poète singapourien d'origine chinoise et malaise.

1994 : Première pièce de théâtre : Fighting
1998 : Premier receuil de poésie : One fierce hour 
1999 : Premier livre de nouvelles : Corridor

2001 : - prix du "National Arts Concil-Singapore Press Holdings Golden Point"  en poésie
           - prix du "National Art Council's Young Artist" en littérature
           - prix du "Singapore Literature Commendation"
           - prix du "Malay Language Council Commendation"
 
Il écrit des pièces en anglais (21 pièces) et  en  malais (12 pièces) ce qui suscite l'intérêt d'un plus grand public. Il travaille depuis longtemps en auteur pour les companies singapourienne : "The necessary stage", "Wild Rice" et " Action Theatre" ainsi que pour une companie malaise à singapour : "Teater Ekamatra". Alfian a aussi joué dans quelques unes de ces pièces telles que The Corrected Poems of Minah Jambu and Mengapa Isa.
C'est un auteur international, en effet, ses pièces ont été jouées en Europe : à Londres, Zurich, Berlin et Stockholm.

Ces pièces les plus récentes faisaient parti du Festival de Théâtre à Singapour cet été.


Nadirah

Metteur en scène : Zizi Azah Abdul Majid
Comédiens : Hatta Said, Neo Swee Lin, Shida Mahadi, Siti Khalijah Zainal et Tony Quek
Prix : "Best Original Script", "Best suporting actress" (Neo Swee Lin), "Best actress nomination" (Siti Khalijah) et "The Straits Times Life Theatre"

Cooling of the day

 

 


Metteurs en scène : Ivan Heng & Jo Kukathas
Comédiens : Jo Kukathas, Najib Soiman, Neo Swee Lin, Rodney Oliveiro, Peter Sau et Tan Kheng Hua


"Writer Alfian Sa'at is the voice that will not let you forget... A skillful marriage of political and personal concerns... Landmarks hits perfect pitch."

The Straits Time Life



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Marie & Diane
 

Dimanche 16 octobre 2011 à 15:53

“I think Sylvie is exceptional and she works incredibly hard. She is a great person to work with; she will do something again and again. […] She is every bit the equal of Billy and Michael in strength and power, and she is absolutely fearless.” 
– Maliphant
 
 
C
haque année, Singapour présente un festival de danse. Le Da:ns Festival de 2011 se déroule du 7 au 16 octobre. Le spectacle 6000 miles away, with Sylvie Guillem  est une représentation de danse contemporaine, divisée en trois scène différentes, toutes trois mises en scène par trois chorégraphes différents. La première scène, Rearray, a été chorégraphiée par William Forsythe, sur une musique de David Morrow avec les deux danseurs Sylvie Guillem et Nicolas Le Riche. La seconde, 27’52”, a été chorégraphiée par Jiří Kylián, sur une musique de Dirk Haubrich réalisée par les danseurs Aurélie Cayla et Kenta Kojiri. Enfin, la dernière danse, Bye, a été chorégraphiée par Mats Ek, sur une musique de Beethoven (Piano sonata Op. 111, Arietta) et est dansée par Sylvie Guillem seule. Ce spectacle d’1h20 s’est déroulé le 15 et 16 octobre au théâtre de l’Esplanade, production de Sadler’s Wells London et de Sylvie Guillem.
 
 
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L
a danse contemporaine regroupe des mouvements de danse classique et de danse moderne, mélangés ensemble. Cela n’a donc sans doute pas posé de problème pour Sylvie Guillem, puisque celle-ci était avant une danseuse étoile classique très renommée, qui a dansé avec l’Opera de Paris et la compagnie de Royal Ballet de Londres, avant de se consacrer à la danse contemporaine il y a 2 ans seulement. Les mouvements contemporains sont durs à maîtriser, mais Sylvie Guillem et les autres danseurs en avaient la maîtrise parfaite dans 6000 miles away. Rares sont les danseurs qui ont un contrôle de leurs mouvements si précis ; et rares sont les danseurs de l’âge de Sylvie Guillem, car elle a tout de même 46 ans... Qu’ils soient au sol, dans les airs ou juste debout, les danseurs exécutaient leurs mouvements toujours en synchronisation et avec le même contrôle impressionnant.
 
L
a musique était, personnellement, très agaçante dans le premier duo... Elle a été désagréable pendant toute la danse, de mon point de vue. En revanche, j’ai beaucoup aimé la seconde musique, qui incluait des paroles dans plusieurs langues, telles que le français, l’anglais et l’allemand si ma mémoire est bonne ! Dans le solo de Sylvie Guillem, la musique de Beethoven se mariait parfaitement avec la danse, donc je pense que c’était un excellent choix d’accompagnement musical. Les décors restaient plutôt simples tout au long du spectacle. En effet, dans la première scène, il n’y avait aucun décor, juste les deux danseurs sur la scène. Dans le deuxième extrait, un drap blanc recouvrait le sol, et les rideaux avaient été retirés. Enfin, dans le solo de Sylvie Guillem, un écran était présent au centre du fond de la scène. Cet écran reste pour moi une très bonne idée, car il a permis un effet comique à certains moments (en tout cas, c’est ainsi que je l’ai perçu !) mais également car il a été utilisé à bon escient. Au début de la scène, lorsque le rideau se lève, on voit juste l’écran, ce qui est légèrement intriguant ; puis apparait Sylvie Guillem, qui joue avec l’écran avant de vraiment commencer son solo. C’était très réussi.
Les éclairages avaient aussi une place très importante dans ce spectacle. Ils accentuaient effectivement l’ambiance du spectacle et le rendaient plus intéressant.
 
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P
ersonnellement, 6000 miles away était un spectacle à ne pas rater, car il demeurait hallucinant à voir. Un des meilleurs spectacles de danse contemporaine que j’ai jamais vu ! Il vous scotchait à votre siège pendant la durée totale, et ne vous ennuyait pas une seule seconde. Je trouve aussi qu’il pouvait être de bon usage pour les théâtreux, puisqu’on arrivait vraiment à observer les fils directeurs des danseurs, dans les trois scènes de danse. C’était tout simplement impressionnant.
 
Si vous voulez plus d’informations sur Sylvie Guillem, ces prochains spectacles, regarder des vidéos, des photos, voici son site internet qui est plein de couleurs et très bien fait, avec l’accompagnement de différentes musiques : http://www.sylvieguillem.com/
 
 
« Even as a young dancer, my way of approaching dance was not their way, » dit Sylvie Guillem au journal The Daily Telegraph.
 

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Julie JOUSSE

 

Dimanche 9 octobre 2011 à 16:15

 


‘’Dealer Choice’’ est la 3eme production de la compagnie ‘’Pangdemonenuim’’ , dirigée par Tracie Adrian Pang a qui l’ on doit ‘’Full Monty’’, une comedie musicale très drôle sur le chomage et la nessecite de gagner l’ argent  ainsi que ‘’Closer ‘’.   
 
‘’Dealer’ s Choice’’ se passe à Londres, dans un restaurant géré par Stephen (Adrian Pang). Il emploie deux serveurs :Frankie(Keagan Kang) et ,un idiot de première classe ,Mugsy (Andy Tear) et un cuisinier, Sweene (Daniel Jenkins).
La particularité de ces personnages est qu’ils jouent au poker une fois par semaine dans le sous sol du restaurant où on joue avec de l’argent. L’intrigue se déroule le matin du jour ou ils jouent au poker et avant l’ouverture du restaurant. La piece s’ ouvre avec Mugsy qui raconte a ses amis Frankie et Sweene son intention d’ouvrir un restaurant. Mugsy veut installer son restaurant dans des toilettes publiques. Il monte ce projet avec le fils du patron Carl (Julian Low).Ce dernier doit de l’argent a Ash (Daniel York) un joueur professionnel de poker. Carl a une addiction aux jeux liés à l’argent.
 
Tracie Pang a choisi un décor de grande qualité avec des changements entre le premier et deuxième Acte et la partie de la scène où il ya la table de jeu tourne, ce qui permet d’exprimer que le temps passe. Les matériaux utilisés sur la scene sont vrais(veritable cuisine avec le robinet le couteau et la patte a pizza…) : Tracie PAng a une approche très réaliste. Malgré l’argent et l’effort mis dans le decors, il ne m’ a pas plu car Il en a trop . On se sent plus dans un film que dans le théâtre, ce qui pour moi, ne m’a pas permis ‘’d’entrer’’ dedans. On est seulement observateur et pas concerné.
 
Parmis les acteurs, j’en ai aimé trois : Daniel Jenkins, Andy Tear et mon préféré Daniel York. Ils m’ont vraiment touché par leur jeu qui est crédible comme lorsque York est assis sur la table du restaurant, il a vraiment cette énergie malsaine qui ressort. On ressent une violente agressivité aussi lorsqu’ il regard droit dans les yeux Julian Low (Carl) .ON y croit et on s’énerve avec lui. De même on ressent de la compassion pour Daniel Jenkins (Sweeney) lorsqu’ il a perdu tout son argent dans la partie de poker. On voit un homme abattu, jaloux, démuni, en colère qui ne pourra pas amener sa fille dans aucun des parcs d’attractions, contrairement a ce qu’il voulait faire. Il nous touche profondément.
Andy Tear (Mugsy) est l’élément clef de l’humour dans la pièce .Il nous fait rire d’ abord par ce qu’il dit : il fait des phrases qui n’ont pas de sens ou qui sont idiotes et fait des gestes inappropriés. Andy Tear fait une performance d’acteur exceptionnelle.
 
Pour le reste des comédiens, Ils m’ont moins touché dans leur rôle. Tout d’ abord, Julian Pow : il ne m’a pas du tout plu, car son jeu n’ était pas assez crédible. On ne voit pas Carl mais plutôt l’acteur sur scène qui le joue. Son accent anglais trop forcé rendait sa performance pas naturelle. Adrian Pang, bien qu’il soit une idole singapourienne,n’ incarne pas assez son personnage . Les moments ou il joue vraiment bien le père ou le patron sont des longues pauses dans les discussions ou son regard est bien fixé. A plusieurs reprises, on a l’impression qu’il parle au-delà de son personnage. On a l’idée qu’il rajoute un peu de lui dans son jeu :Adrian Pang joue du Adrian Pang ! Pour finir , Keagan Kan est très bien dans son rôle.Par contre il n’est pas mis en valeur dans l’histoire, son personnage est moins important que le reste. C’est dommage.
 
Le texte de Dealer’s Choice est dit avec un accent anglais : il est difficile de suivre. Le contenu de la pièce était comique principalement grâce a Mugsy et tout ce qui est lié à lui. A part lui , la dimension comique de la piece Dealer’s choice est très limitée .On voit différent facette de la problématique de l’ addiction des jeux d’ argent. Cependant  on ne se sent pas concerné. L’histoire se termine avec le fils Carl qui dit ‘’ a la fois prochaine’’, donnant l’impression que ce qu’il s’est passé durant toute la pièce n’a servi a rien. On n’a pas d’évolution chez les personnages, donc on ne se sent pas touché par ce qui s’est passé.  Pour finir ,la partie de poker est ennuyeuse  car il est difficile de suivre le jeu quand on connait pas les règles.
 
Dans l’ ensemble j’ai trouvé ‘’Dealer’s choice ’’ très bien jouée et comique a des moments mais ce n’est pas une pièce qui sort de l’ordinaire.

Dimanche 9 octobre 2011 à 16:00

 Dealer’s Choice écrit par Patrick Marber et dirigé par Tracie Pang est une comédie qui retrace les addictions au jeu des six acteurs. L’histoire se passe dans un restaurant qui transforme sa cave en table à poker le soir. On apprend alors a connaître Stephen (Adrian Pang) le directeur du restaurant qui anime le poker le soir, joueur addictif qui a entrainé son fils Carl (Julian Low) pour pouvoir le voir au moins une fois par semaine. Ce dernier a de nombreuses dettes notamment envers Ash (Daniel York) qui vit par le jeu et se joint a leur partie amateurs pour récupérer l’argent qui lui est du. Deux autres joueurs compulsifs Sweeney (Daniel Jenkins) cuisinier au restaurant et Frankie (Keagan Kang) serveur sont des habitués de ces parties. Reste le personnage le plus loufoque de cette pièce Mugsy (Andy Tear) qui rêve d’ouvrir un restaurant dans des grandes toilettes avec Carl et espère malgré sa tendance à toujours perdre un jour gagner assez pour investir dans son rêve.

 

La pièce commence sur le début du service du soir au restaurant. La scène est séparée en deux : la cuisine et la salle de restaurant. C’est un décor très réaliste qui permet de comprendre plus facilement l’intrigue. Les éclairages se tamisent d’un coté de la scène lorsque l’action se passe dans l’autre. Néanmoins on se retrouve pas dans un immobilisme dans le coté sans action ce qui laisse une ambiance de réalité et ne brise pas l’action passée. Par ailleurs les transitions entre les deux espaces de jeux étaient très bien faites. Lorsque des deux cotés une dispute éclate, c’est simple de suivre les deux qui sont simultanées. Si la parole n’est pas superposée les actions le sont et le jeu d’éclairage permet de comprendre qu’est ce qui passe et où.

Après l’entracte on se retrouve dans la cave du restaurant. Le décor a radicalement changé tout en restant très réaliste. Petite surprise, la table de poker tourne. Une manière certainement de ne pas avoir des acteurs de dos mais qui ne m’a pas plu, j’ai trouvé que ça a gâché l’ambiance rétro de la pièce. La faire tourner pendant les noirs n’aurait pas choqué mais sous les projecteurs reste une idée à revoir. En plus le petit bruit électrique brouiller le silence du jeu de poker.

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J’ai trouvé que les acteurs étaient très motivés et présents sur scène. Les sentiments des acteurs se reflétaient dans le public. Lorsque Sweeney par exemple fond en larmes car il a dépensé l’argent qu’il destiné a sa fille dans le jeu, on peut comprendre la situation et sympathiser avec le personnage. Des acteurs montés sur scène pour faire rire et qui s’y plaisent où du moins donne l’impression c’est ce qui fait que j’ai très apprécié cette pièce.

 

La fin est triste, rare pour une comédie mais il en faut bien ! Une belle histoire qui se termine sur une morale : ne pas commencer à jouer au risque de perdre ceux qu’on aime.


            Je n’en dirais pas plus ! Prenez vos places ! Dealer’s Choice est sur scène au Drama Center Theater de la National Library jusqu’au 16 Octobre.

                                                                                                                                    Anne.

Jeudi 6 octobre 2011 à 17:37

J'étais dans les affiches, notamment celles qui annoncent la venue du Collectif TRU-MAC, les grapheurs qui passeront un après-midi au LFS pour le plus grand plaisir de tous, et j'en ai profité pour faire l'affiche du spectacle du mois de mai.

Voili-voilà ce que cela donne...

Réactions attendues, bien évidemment.

Olivier Massis.




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ou


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Mardi 4 octobre 2011 à 22:14

La Mère de FLORIAN ZELLER

La Mère est une pièce de Florian Zeller que je suis allé voir à Paris en décembre 2010. Catherine Hiegel joue le rôle principal et marquant d'une mère possessive qui après le départ de son fils (Clément Sibony) sombre à priori dans la folie.

On ressent une forte tension dès le début de la pièce avec de longs silences et une mise en sc
http://theatrelfs.cowblog.fr/images/superbecatherinehiegelL1-copie-1.jpgène centrée sur le jeu des acteurs. Le décor est donc très simple et les mouvements des acteurs rares. Le jeu des acteurs, en revanche, est en apparence très neutre mais Catherine Hiegel nous fait ressentir à travers ses nombreux monologues et les silences qu'elle installe une pression inconfortable.

La pièce est constituée de plusieurs répétitions et de retours en arrière (on peut par exemple voir la même scène jusqu'à 3 ou 4 fois avec les mêmes déplacements mais des dialogues qui varient et donc une interprétation différente). On se perd peu à peu et on ne peut plus faire la différence entre la réalité et la folie schizophrène de la Mère. On finit même par se demander si elle ne s'est pas imaginée un fils, et si toute la pièce ne sort pas simplement de son imagination.

C'est une pièce dont on ne peut pas ressortir indifférent et Florian Zeller (qui a écrit et mis en scène la pièce pour la faire jouer par Catherine Hiegel) ainsi que les acteurs ont fait un travail formidable. Catherine Hiegel est une actrice très talentueuse qui a joué pendant plusieurs décennies pour la Comédie Française et elle a d'ailleurs obtenu le Molière de la Comédienne pour La Mère en 2011. http://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine_Hiegel

Emilien B
(maintenant à Zürich) ^^

Mardi 4 octobre 2011 à 16:57


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Voilà déjà un mois que nous avons recommencé...
... partis à 24, nous ne sommes plus que 16. L'option en a inquiété quelques uns qui ont préféré se recentrer sur d'autres activités.

Si le texte n'est pas encore choisi, on peut déjà dire que ce sera soit Catherine Anne, soit Jean-Luc Lagarce. Deux comédies, ce qui devrait en ravir plus d'un. Grinçantes, ce qui n'est pas sans nous réjouir.

Voici quelques informations de rentrée, pour relancer l'activité Blog/Ateliers/Spectacles :



Les spectacles conseillés...
Chaque spectacle vu doit faire l'objet, de la part de chacun, d'un article ou d'un commentaire (en fonction de la rapidité à laquelle vous vous mettez à l'oeuvre). Votre capacité à intervenir sur ce blog -- de la manière la plus pertinente qui soit, évidemment --, à animer les débats seront pris en compte lors de l'évaluation trimestrielle.


Christopher Marber, THE DEALER'S CHOICE
Cie Pangdemonium, m.e.s Tracie Pang
Drama Center, National Library

Hofesh Shechter, POLITICAL MOTHER
Cie Hofesh Shechter (chorégraphe)
Esplanade Theatre
DA:NS Festival 2011


6000 MILES AWAY
Cie Sylvie Guillem (avec S. Guillem)
Esplanade Theatre
DA:NS Festival 2011

William Shakespeare, RICHARD III
Bridge Project, m.e.s Sam Mendès (avec Kevin Spacey)
Esplanade Theatre

Haresh Sharma, GEMUK GIRL
Cie The Necessary Stage, m.e.s Alvin Tan
Marina Parade, The Necessary Stage Black Box.

GISELLE
Cie de l'Opéra de Paris.
Esplanade Theatre.



Notre calendrier de cours...

Je 06 OCT - Amphi
Je 13 OCT - Amphi
Sa 15 OCT (matin uniquement, à partir de 9h00) - Amphi.
Je 20 OCT - CDI
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Je 10 NOV - Amphi
Je 17 NOV - Surprise...
Je 24 NOV - CDI
Je 01 DEC - Amphi (CHANGEMENT au 17/11)
Je 08 DEC - CDI
Je 15 DEC -
Amphi (CHANGEMENT au 17/11)


Les samedis de répétitions...
(à partir de 9h00 ; ne prévoyez pas d'heure précise de fin de journée)
La présence de chacun est requise, obligatoire, impérative ! C'est dans ces moments-là qu'on donne un grand coup d'accélérateur à notre projet. L'absence de quiconque compromet gravement notre projet. Ne soyez ni malade, ni boîteux, ni toussoteux. Trépas s'abstenir !


Sa 03 DEC 
Sa 28 JANV
Sa 17 MARS
Sa 12 MAI


Le stage avec Régis Maynard, le comédien intervenant dans l'option.
La présence est obligatoire. Comme vous pouvez vous y préparer à l'avance, ce sera à vous de prévoir pour que cela ne perturbe pas de trop votre scolarité.

Deux options, pour le moment, à confirmer.


1. Au Nouvel An Chinois 2012

Ve 20 JANV au Me 25 JANV (6 jours non-stop).
de 9h00 à 18h30 env.
4 jours de vacances / 2 jours de cours.

2. Avant les Vacances d'Avril 2012
Je 12 AVR au Ma 17 AVR (6 jours non-stop).
de 9h00 à 18h30 env.
2 jours de week-end / 4 jours de cours.



Les représentations...

Me 16 MAI (Générale)
Je 17 MAI
Ve 18 MAI
Sa 19 MAI




Eh bien, ça nous fait encore une belle année en perspective !
Inscrivez tout cela sur vos tablettes pour qu'il n'y ait aucun malentendu. Et, cette année, contrairement à la précédente, les dates ne devraient pas changer régulièrement... ainsi, vous pourrez prévoir avec vos familles, mariages, baptême, fiançailles sans que cela ne vous oblige à prendre inopinément l'avion, sans que cela ne procure quelques suppléments d'adrénaline à qui que ce soit...

A jeudi.

Olivier Massis.



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