theatrelfs

Jeudi 18 mars 2010 à 8:55

L' ATTELLANE

 

 

A l’époque gréco-romaine, le théâtre était un des seuls moyens de divertissement et nombreuses étaient les pièces qui y étaient jouées. Tout le monde pouvait s’y rendre : hommes, femmes, enfants, esclaves. Tandis que l'État appréciait le théâtre car il faisait régner l’ordre en ne montrant que des pièces jouées en faveur de l'État, les citoyens et non-citoyens qui venaient au théâtre l’appréciait pour la diversité des thèmes de ce dernier. Au milieu d IIeme siècle avant J-C, de nombreux types de pièces étaient jouées dans le théâtre romain. Toutes les pièces devaient divertir les gens dans le but de leur trouver un exutoire à leurs émotions, soit par le rire (comédies), soit par les larmes (tragédies). Un des types de pièces les plus appréciées était l' attellane.

 

L' atellane est un genre théâtral latin qui apparaitra tout d'abord en Campanie avant d'être importé puis joué à Rome. Elle puise ses sources dans la Comédie Nouvelle dont elle reprend les costumes en caricaturant parfois les masques de façon outrancière. Les pièces étaient joués en osque, un dialecte de la Campanie, une région d' Italie méridionale d'où est originaire le genre.

 

C' est une courte farce, une pièce improvisée par des jeunes de bonne famille portant un masque et incarnant des personnages de convention comme les personnages types Maccus, Bucco, Dossenus, ou encore des êtres monstrueux comme des ogres. Les pièces étaient essentiellement caricaturale et les personnages étaient grossiers.

 

Ce genre donnera naissance à la Commedia dell'Arte dont les personnages de Pantalon et Polichinelle sont issus. Les nombreux personnages types comme Maccus, Dossenus, ou encore Bucco sont aussi inspirés de la Commedia dell'Arte.

Le demi-masque utilisé dans les attellanes permettait de conserver son anonymat lors d'une pantomime ou au début de l' atellane. Le théâtre grec mettra d'avantage à contribution les masques entiers. Empruntés à la vie quotidienne, les thèmes étaient très simples. L' atellane séduisait par son caractère familier et se servait de l’obscénité pour faire passer des messages aux spectateurs.



Emilien B

Mardi 16 mars 2010 à 12:31

Ce jeudi 11 mars 2010, deuxième jeudi après la rentrée, trois semaines après le stage avec Régis, le groupe était presque au complet. En effet, il manquait une élève à l’appel. Cependant, cette absence ne nous a pas importunés pour la première heure de ce jeudi : nous avons fait une séance au cdi, afin de continuer, par classes, nos recherches sur le théâtre. Les secondes ont avancé leur projet sur le théâtre antique, grec et romain ; les premières sur le théâtre en Asie, et les terminales sur leurs projet dont je n’arrive pas à me rappeler le sujet.
Ensuite, nous sommes descendus a l’amphithéâtre et avons commence l’échauffement corporel habituel : se tapoter légèrement la quasi-totalité du corps avec son point ou le plat de sa main. Puis nous nous sommes échauffés la voix avec des exercices divers  (contrôle du souffle exercice de l’alexandrin, bobine de fil, délie-langue etc.)
Par la suite, nous avons remis en place individuellement nos fils directeurs, afin de se remettre « dans la peau de notre personnage ». La suite est évidente, nous avons fait un filage, qui s’est déroulé normalement, hormis les petits sourires présents sur les visages de tous les slaves et de Ginette lorsque Marion est apparue, poussant son chariot vide et  parlant a une chaise. Mr. Massis nous a ensuite expliqué que nous commencerons la suite et fin de la pièce dans les prochaines  semaines, afin d’avoir de la matière pour travailler samedi 27 mars, lors de notre grande journée de répétition.
Axelle LDA

Dimanche 7 mars 2010 à 6:48


Ce jeudi 4 mars, nous avons commence par une seance d'une heure au CDI, afin de continuer nos projets en groupe.
Les secondes ont avance dans leurs recherches sur le theatre grec et romain: les costumes, les masques, les pantomimes, les differences entre theatre grec et romain...

Ensuite, nous sommes alles a l'amphitheatre. Les premieres ES et L etant absents, nous n'avons pas fait de filages. 
Nou avons commence par des exercices appris pendant le stage: le corps, la voix ( exercice de l'alexandrin, du delie-langue, de la bobine de fil...).
Nous avons travaille sur nos fils directeurs individuellement, puis nous avons repris une des improvisations du stage: la salle d'attente.
Les personnages entraient un a un sur le plateau et se deplacaient selon leur fils directeurs. C'etait une improvisation muette, avec quelques objets utilisables sur la scene: une plante, des chaises, positionnees de differentes facons.
Le but etait pour nous de travailler sur l'ecoute et la reaction, tout en restant dans nos fils directeurs, ce qui s'est avere parfois assez difficile...

M.Massis nous a egalement conseille d'aller voir  Model Citizens,  une piece qui se joue actuellement  au Necessery Stage pres de Marina Parade, jusqu'au 14 mars.


Chloe Duvivier

Mercredi 3 mars 2010 à 10:26

La scène avertit déjà le spectateur, à son entrée dans la salle, de l’absence de surprise et d’étonnement : pas de rideau, juste un élément du décor cachant partiellement le reste, et exhibant en grandes

http://theatrelfs.cowblog.fr/images/imagelaboheme.jpg

 lettres La Bohème, comme si l’on n’était pas au courant que l’on venait à l’Esplanade de Singapour en ce mois de Février écouter cet opéra italien en quatre tableaux de Puccini, dirigé par Andrew Sinclair.

Au lever de cet élément du décor, accompagné de l’orchestre,  le reste de l’espace se dévoile et deux personnages apparaissent dans un milieu reflétant une vie d’artiste, l’insouciance. Il est agréable de voir ce décor, mais il est sans surprise et n’a rien d’extraordinaire. Il en est de même pour les costumes.

L’opéra commence.

Mais déjà on remarque que les chanteurs et chanteuses, pourtant issus de l’Opéra Lyrique de Singapour, ont des voix qui ne portent pas : on se demande si ceux du dernier balcon assiste au spectacle en version mute… La déception ne fait que croître car les airs sont très mélodieux et plaisants à entendre. Et pour ce qui est du jeu… L’histoire parle d’amour, de passion entre un homme peu fortuné (Rodolfo) et une femme (Mimi), détruite peu à peu par la maladie. Cependant, les seules preuves d’amour dans le jeu de ces acteurs sont les mains : ils se tiennent les mains et ils sont amoureux. Pas de grandes étreintes, ni de caresses, ni de baisers. C’est ennuyeux, le spectateur ne se sent pas immergé dans l’intrigue. 


En sortant de la salle, on se sent indifférent. On ressent surtout une grande déception vis-à-vis de cette mise en scène et de ces voix. Dommage.


Clara.a
 
 

Mardi 2 mars 2010 à 11:01

Bonjour à tous !

d'ici à demain soir, je dois avoir fait le bilan du second trimestre, de façon à ce qu'il figure sur votre bulletin.

Pour ceux qui n'ont toujours pas rendu ni de présentation d'auteurs/metteurs en scènes/comédiens, ni de compte-rendus de spectacles, ni de résumé d'articles, il vous reste 24 heures...

Après, ce sera trop tard ! Je m'en serai donc tenu aux critères suivants :

1. Animation du blog : commentaires constructifs, pertinences des remarques, intérêt porté à l'avancée de nos travaux.
2. Rédaction des articles attendus sur le blog.
3. Stage théâtre, du 14 au 19 février 2010 : implication, écoute, progrès, disponibilité.
4. Projet théâtre : implication, proposition, dynamique, écoute.


A jeudi.
Olivier Massis.

Mardi 2 mars 2010 à 10:54

article par Chloé Campbell

Mardi 2 mars 2010 à 10:53

article par Margaux Cabrol

Mardi 2 mars 2010 à 10:52

article par Romain Fondacaro

Mardi 2 mars 2010 à 10:51


JOURNEE 5

Comme chaque jour de cette semaine, le jeudi a commencé par un échauffement en bonne et due forme,comprenant réveil de notre centre moteur, le ki (?), chorégraphie en foetus, travail sur la respiration et échauffement de la voix. A ce stade-là, c'était devenu une habitude pour (presque) tout le monde, une sorte de banalité pourtant fondamentale, condition sine qua none d'une bonne préparation avant de rentrer sur scène.
Ceci étant fait, nous avons échaîné sur un filage. Nous en avons profité pour modifier quelques éléments, en rajouter d'autres, bref c'était un filage actif au cours duquel Régis, M. Massis et Sophie ont pu intervenir. 
Avant la pause déjeuner, nous avons fait un deuxième filage afin de bien fixer tous les éléments revus/rajoutés précedemment.
Durant l'après-midi, Régis nous a proposé des impros "musicales". Il a repris la situation initiale de l'impro sur laquelle nous avions déjà travaillé les jours précédents, à savoir 5 ou 6 personnes (les personnages de la pièce en l'occurrence) qui ne se connaissent pas, dans une salle salle d'atente, à laquelle il a ajouté deux morceaux de musique. Le but étant de se laisser guider par celle-ci et de voir de quelle façon elle pouvait influencer nos déplacements, nos fils directeurs. Les deux morceaux présentaient des rythmes radicalement différents et nous devions réagir de manière appropriée pour chacun d'entre eux. J'ai trouvé cet exercice întéressant mais plutôt difficile dans le sens où il n'était pas toujours évident de penser à ses fils directeur et à la musique en même temps. Comme beaucoup d'ilmpros dont la consigne est on ne peut plus simple, celle-ci s'est révélée bien plus délicate que je ne m'y attendais. Des belles choses sont ressorties cependant dans les impros que j'ai pu observer.
Si mes souvenirs sont bons, la journée s'est arrêtée là, mais il se pourrait que nous ayons fait quelques impros avec les clowns ? Confirmation needed please 

(1/2) JOURNEE 6

Après un échauffement tonique et efficace, nous avons fait un ultime filage afin de clôturer cette semaine de stage en beauté. Cette fois-ci sans aucune intervention, sans aucune interruption. Régis nous a ensuite fait part de ses multiples et nombreuses remarques ; nous avons pris la fameuse photo de groupe et il a filé tel un Régis angoissé de rater son embarquement. 
Merci Régis pour ce stage (ou, en ce qui me concerne, ces trois semaines de stage) qui m'a/m'ont permis de remplir ma "besace" de comédienne !

Claire S
 

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