- Quelle place a-t-il au sein de la société, quand, pourquoi ?!
Le théâtre Japonais apparaît au 15e Siècle grâce au épopée qui fut leur source d’inspiration, mais il était déjà présent à partir du 10e Siècle.
Le théâtre est une sorte de bénédiction pour le peuple japonais, effectivement grâce au théâtre qui serrais à la base servis pour les Dieux, ferait sortir la Déesse du soleil « Amaterasu ». Le théâtre est donc, même si il n’a pas une place de premier rang, d’ordre important au sein de la société japonaise, qui suivent les croyances des anciens.
On retrouve le théâtre souvent sous quatre formes différentes, ainsi :
· Le théâtre Nô. Il date du XIVème Siècle et c’est du drame lyrique.
· Le théâtre Kyôgen. Il date également du XIVème Siècle et c’est du théâtre Nô, mais sous la forme comique.
· Le théâtre Bunraku. Il date du XVIIème Siècle et c’est du théâtre de marionettes.
· Le théâtre Kabuki. Il date également du XVIIème Siècle et c’est le l’opéra comique.
- Religion ?!
Effectivement le théâtre japonais touche à la religion, étant donnée que les spectacles sont des offrandes aux Dieux.
Selon une légende japonaise, les japonais craignaient le sombre, les nuages et lorsque tout se couvrait, cela voulait dire un mauvais présage arrivé. Ils décidèrent de trouver des solutions. Ainsi, les théâtres seraient joués pour faire sortir « Amaterasu », la déesse du soleil, de la grotte dans laquelle celle-ci se cache. Lorsque les japonais se sont mis à faire du théâtre, donc toutes sortes de chants et de danses ; la déesse fit un pas en dehors de sa cachette et découvrit à sa grande surprise plusieurs autres Dieux, qui étaient en train de faire la fête. Tous dansaient et chantaient, ainsi elle les rejoignit pour s’amuser. De ce fait le japon fut illuminé car Amaterasu, en sortant de sa grotte leur avait apporté lumière et ainsi sérénité.
Depuis ce jour les japonais qui désirs le soleil, jouent du théâtre, de manière à ce que la déesse du soleil sorte de sa grotte pour s’en aller se distraire et leur apporter au passage la lumière. On dit que grâce au théâtre que le monde n’est plus plongé dans le noir des « ténèbres », dont il sont effrayés.
- Divertissement ?!
A la base, le théâtre, qui était appelée « danses des signes », était interprétée dans la rue, un peu à la volée et le but était de divertir les passants et les voyeurs. Mais au fil du temps ce théâtre des rues sympathique devins dramatique et est plus porter pour la classe noble. Par la suite que le théâtre Nô fut inventé et créer par « Maître Zeami ». Mais il demeures toujours des pièces comiques mais qui n’est pas tournés pour le même public.
Comme avant ceux qui représentait les personnes noirs était des blancs mais enduit de couleurs noir pour la vraisemblance ; le théâtre japonais qui n’acceptait pas les femmes sur scène, envoyait à la place des petits jeunots.
Tradition du Nô :
Le No est un genre au théâtre japonais.
Le théâtre Nô a été inventé et fondé par un père et son fil, Kanami (1333-1384) et Zeami (1363-1443),, au alentour du demi-Siècle du XIVème. C’est Shôgun Ashikaga Yoshimitsu, qui leur demanda de créer ce genre.
C’est de l’art théâtrale qui est tourné vers le dramatique. Les danses et déplacements très lent et une musique plutôt aiguë, voir stridente ; fait avec des instruments du japon. Les chants sont simples, mais plutôt grave, articulé et lent. Le tout est de donnée une allure dramatique à la pièce de théâtre.
Ce genre de théâtre vise les classes noble, c’est l’aristocratie qui est visée. Effectivement le Nô est composé de plusieurs centaines de pièces ( environ 250 ).
D’un point de vue religieux, c’est un genre qui est inspiré du bouddhisme.
Les pièces sont jouées modestement et en pleine air. Un premier acteur vient sur scène pour installer le décors et situé l’action dans le temps et raconter un peu se qui est en train de se passer, cette homme s’appelle un waki. C’est lui qui entonne le premier chant. L’acteur principales soit un shite, arrive une fois le décors posé et l’intrigue expliqué. Il porte un masque, change de vêtements souvent marche et parle très lentement. Après le chœur doit répéter pour les spectateurs d’une manière plus intelligible ce que viens de dire le shite. Toutes les danses et déplacements sont extrêmement lents. Le Nô est composé de cinq actes, il dure donc assez longtemps ; c’est pour cela que trois pauses font fait durant la pièce. Pour indiqué que l’on change d’actes, l’acteur principale tape du pied sur le sol.
Si le Nô n’est pas joué dans la rue, il est alors joué sur une estrade protégé. Tout cela toujours modestement. Le décors reste également simple. Les musiciens sont quatre et sont situés au fond de la scène, le chœur lui est placé à droite.
De nos jours, le Nô est toujours représenté aux japons et toujours apprécié de ses habitants. Ainsi des pièces sont souvent joués et des endroits spécifiquement pour eux, ont été construit.
De plus des écoles ont été créer pour faire continuer cette tradition japonaise, parmi les jeunes qui désir apprendre cet art.
De plus des écoles ont été créer pour faire continuer cette tradition japonaise, parmi les jeunes qui désir apprendre cet art.
Claire GOLDBLUM