theatrelfs
Samedi 18 février 2012 à 4:25
Lundi 30 janvier 2012 à 11:35
Exit the King par Eudore
Il s'agit d'un spectacle mis en scène par Alain Timar qui est un metteur en scène francais, il a dirigé plus de 50 productions en france, et il en a égalemt fait dans d'autres pays d'Europe comme la Hongrie ou l'Espagne. Exit the king est une pièce écrite par Eugene Ionesco, il raconte l'histoire d'un roi assez pretentieux qui apprend qu'il va mourir dans une heure et demi, et il est entouré de ses deux femmes, de som medecin et de ses serviteurs. Lorsque je suis entré dans la salle, je dois dire que j'eatait un peu sceptique, car je me suis dis que deja le titre ne me tentais pas tellement, mais la pièce a vite su faire taire cette peur, et finalement je suis resoortit de cette salle content, et j'ai donc passé un bon moment. Ce qui ma plu dans cette mise en scène, c'est avant tout le jeu des acteurs, surtout celui du roi qui jouait bien le dirigeant vaniteux et prétentieux, et aussi le role du docteur un peu fou. Une autre chose aussi qui était bien c'était qu'au début, on sentait que l'acteur s'addressait au spectateur mais qu'il y avait comme même un quatrième mur, et puis tout d'un coup, l'acteur l'a brisé en venant tendre cette canne a pêche à un spectateur et puis le médecin a continuer à entretenir ce lien avec le spectateur. Donc au final, je suis entré dans cette salle avec l'idée que j'allais m'ennuyer et j'en suis ressortit avec l'idée que je m'étais amusé.
Vendredi 20 janvier 2012 à 18:48
Monsieur Massis a dit qu'il n'était pas interdit d'écrire plusieurs articles sur un meme spectacle. Giselle ayant déja été "réservé", je me suis quand meme laissée emporter par l'envie d'écrire un article sur ce ballet duquel je viens de rentrer.
GISELLE
Opéra de Paris
Giselle, ou les Wilis est un ballet composé par Adolphe Adam, sur un livret de Théophile Gautier. La chorégraphie originale est de Jean Coralli et Jules Perrot.
Depuis sa création le 28 juin 1841 à l'Opéra de Paris, Giselle est considéré comme le symbole même du ballet romantique. C'est Théophile Gautier qui en suggère l'argument à Vernoy de Saint Georges, en s'inspirant d'un passage du livre de Henri Heine, De l'Allemagne, qui traite de la légende des Wilis, ces fiancées mortes la veille de leurs noces, qui entraînent les voyageurs imprudents dans des rondes mortelles la nuit tombée.
Ces quatre représentations reprirent la chorégraphie de Jean Coralli et Jules Perrot, adaptée par Patrice Bart et Eugène Polyakov sur la musique d'origine d'Adolphe Adam.
Parmi la distribution des rôles titres, on retrouve: Laetitia Pujol , Aurélie Dupont, Emilie Cozette, Benjamin Pech, Claire-marie Osta, Mathieu Ganio ou bien encore Josua Hoffalt.
Le rideau se lève sur un village durant les vendanges. Nous découvrons Albrecht, prince de Silésie, déguisé en paysan dans le but de séduire incognito la jeune Giselle à qui il jure fidélité. Lorsqu’il est avec elle, l’homme oublie les contraintes dues à son rang. Il s’invente une nouvelle vie, rêve d’un bonheur simple. Giselle, quant à elle, danse en son honneur, oubliant les remontrances de sa mère qui lui rappelle l’histoire des Willis, ces tristes jeunes filles transformées en fantômes pour avoir trop dansé. Bien évidemment, la réalité refait rapidement surface. Le garde-chasse Hilarion, amoureux de Giselle découvre qu’Albrecht n’est autre que le duc de Silésie, fiancé à Bathilde, la fille du duc de Courlande. Devant tous il révèle l’identité de son rival. Giselle en perd la raison et s’effondre sans vie.
Cette fin tragique annonce la noirceur du second acte. La végétation touffue du début a laissé place à des arbres décharnés. Une brume diaphane envahit le plateau tandis qu’une armée fantastique se lève, menée par la reine Myrtha. Ce sont les "Willis", les fantômes de jeunes filles mortes avant leurs noces, prêtent à traquer les hommes qui ont causé leur malheur. Des vagues de tutus blancs déferlent alors dans l’obscurité, aussi séduisantes que menaçantes et impitoyables. Giselle en fait partie. Mais, elle, aura pitié de son prince qu'elle essaiera de sauver en vain .Albrecht ne sera sauvé que par les premières lueurs de l’aube qui font rentrer les Willis dans leurs tombes.
En arrivant dans la salle de spectacle, je m'attendais déjà à être conquise par le ballet de deux heures qui allait se jouer sous mes yeux. Et je n'ai en effet pas été déçue.
Tout d'abord, je dirais que les décors m'ont beaucoup plu. Très recherchés et travaillés, ils allaient à la perfection avec les chorégraphies et les costumes des danseurs. Dans le premier acte, les collines surplombant les maisonnettes du village, tout ça dans les tons beige et jaune, s'unissaient à merveille avec les costumes des villageois. Ces couleurs chaudes apportaient une touche fraiche et pleine de gaîté qui reflétait bien l'atmosphère du premier acte. Par la suite, la forêt sombre dans laquelle nous nous retrouvions emportés dans le deuxième acte m'a également beaucoup plu. L'ambiance lugubre et sombre du bois-cimetière était en total opposition avec les robes blanches, représentant la pureté de ces Willis, ce qui apportait un contraste de luminosité assez intéressant.
En outre, j'ai également beaucoup apprécié les costumes des danseurs. En effet, dans la première partie du ballet, les danseurs incarnant les villageois portaient des costumes légers et de couleurs vives qui m'ont transporté dans un petit village en plein été.Les robes des villageoises se soulevaient à chaque bond de celles-ci, ce qui donnait un aspect très aérien à la chorégraphie. Par la suite, j'ai trouvé que les costumes des Nobles étaient très recherchés et raffinés, bien que peut être un peu trop à mon goût. Giselle était reconnaissable de loin grâce à sa robe bleue ciel, qui lui donnait une figure enfantine et naïve. Cependant, bien que le costume d'Albrecht était tres beau, j'ai trouvé qu'il ne se différenciait pas assez de ceux des villageois qui portaient également des vêtements dans les teintes jaunes. Dans le deuxième acte, j'ai beaucoup apprécié les robes blanches des Willis. Elles étaient en effet en parfaite harmonie avec l'atmosphère du ballet. Le sol noir reflétait les robes blanches et lumineuses des danseuses, si bien qu'à certains moments je me suis surprise à comparer les danseuses à des nénuphars blancs sur une eau calme et sombre. Ces robes reflétant la pureté et la virginité des Willis nous permettaient de percevoir une touche de légèreté chez ces jeunes femmes, bien que celle-ci fut étouffée par cette foret noire écrasante. J'ai surtout beaucoup apprécié, durant l'acte deux, les voiles des Willis qui “s'envolaient” comme par magie, tirés par un fil invisible vers l'extérieur du plateau. J'ai trouvé que cet élément apportait un plus au côté esthétique du ballet, et par la même occasion, une petite touche d'humour bien accueillie par le public.
Enfin, je termine avec la performance des danseurs. Ils étaient tous très talentueux. On sentait dans chacun de leurs mouvements une légèreté et une grâce admirables. Leurs pas paraissaient légers, presque flottant sur le sol. Les sauts furent tous tres bien réalisés, par ces danseurs dotés d'une souplesse extraordinaire. Une agilité accompagnée d'une élégance et d'un charme incroyable émanaient des portées durant les "pas de deux". Nous ressentions une véritable passion entre les deux danseurs qui étaient complètement dans leur role.
En ce qui me concerne, j'ai énormement apprécié la deuxième partie. Je trouvais en effet qu'une réelle grâce se dégageait des chorégraphies. Les danseuses qui étaient, si je ne me trompe, pas vingt-quatre sur la scène, étaient toutes en harmonie les unes avec les autres. Elles flottaient sur le sol avec une grâce étonnante: nous avions sous les yeux des vagues de tutus blancs qui ressortaient de ce sol noir et sombre . La reine éxécuta au début de l'acte deux un solo superbe qui me captiva, et m'impressionna, surtout avec les “petits pas réalisés sur pointes” qui permettaient de lui donner un aspect très aérien, si bien que cela donnait l'impression qu'elle ne touchait plus le sol. Par la suite, j'ai également beaucoup apprécié la danse d'Hilarion avant sa mort. Il éxécuta en effet de nombreux sauts réalisés à la perfection. C'était magnifique. Enfin, le dernier solo du Prince fut également à la hauteur de mes attentes: c'était splendide.De nombreux pas techniques furent éxécutés sans la moindre erreur.C'était tout simplement remarquable.
Les danseurs étaient tous des plus bouleversants, surtout Aurélie Dupont qui lors de la représentation à laquelle j'ai assisté, représentait Giselle. Elle incarnait à merveille cette jeune-femme terrifiée de se voir trahie, sombrant dans la folie. En effet, lors de la révélation, nous la voyons cheveux détachés et tremblante de tout son corps. Elle était vraiment dans son rôle, et nous pouvions ressentir une vive émotion qui se dégageait de cette danseuse étoile.
Enfin, l'orchestre fut également d'une qualité admirable. Les morceaux du ballet furent tous réalisés à la perfection. L'oreille était bercée et emportée par une musique des plus douces, qui bien évidemment, collait parfaitement avec les chorégraphies.
J'ai donc comme vous avez pu le comprendre énormement apprécié ce ballet. Je n'y ai trouvé que très peu de défauts. En effet, j'ai trouvé durant le premier acte que lorsque le Prince et ses sujets se rendent au village et s'attroupent tous sur la place centrale, la scène était un petit peu “surchargée”. Durant quelques courtes minutes, un entassement désordonné de gens occupaient la scène, ce qui me déplu. Les nobles ainsi que les gardes qui ne dansaient pas étaient, à mon goût, un peu de trop, et envahissaient l'espace de danse. De plus, bien que les décors m'aient totalement séduite, j'ai trouvé aux premiers abords qu'ils étaient un petit peu trop “classiques”, et qu'ils reflettaient plus un décor de conte pour enfants. Mais les danses et costumes se marriant à merveille avec ceux-ci, cela m'a donc fait vite oublié ce petit détail qui m'irritait.
Cet univers que nous offrait le ballet grâce aux décors enfantins, aux costumes colorés, aux danses aériennes, ainsi qu'à la musique envoutante, m'a permis de retomber en enfance pendant deux heures, durant lesquelles je fus emerveillée par ce spectacle magnifique.
Etant allée voir le ballet moderne de Giselle il y a deux ans, interprété par l'Opéra de Lyon, j'ai été contente de pouvoir comparer. Il y a deux ans, j'avais également beaucoup apprécié lespectacle que j'étais allée voir, et qui avait été splendide J'ai vu ce soir les différences frappantes entre ce ballet classique et le moderne. Les chorégraphies, costumes et décors n'ont strictement rien à voir. Ce n'est pas déplaisant de voir le contraste entre ces deux versions du ballet, qui furent toutes les deux superbes.!
J'espère que ceux qui y sont aller (ou qui iront) seront aussi ravis que moi à la sortie.!
Sur ce, je vous souhaite à tous un bon nouvel an chinois!
Anaïs VASSALLO
Jeudi 19 janvier 2012 à 12:18
Jeudi 19 janvier 2012 à 11:21
Jeudi 19 janvier 2012 à 11:20
PANGDEMONiUM !
Tracie and Adrian Pang
Questions portant sur l’interview :
1) How long have you been in the drama area and what made you decide to do that?
2) Did you always know that you wanted to become an artistic director/actor?
3) How do you choose the plays you decide to direct?
4) What makes you think that someone is a good actor? How do you choose them?
5) Why always choose themes that concern real life, such as money, love etc.?
6) Why do you decide to direct drama plays as well as movies or musicals?
7) What do you like the most in your career of artistic director/actor?
8) When you’re not preparing a new show, what else do you usually do?
9) Do you consider money and love the most important mores?
10) When did you get the passion for drama? And where?
11) Can you describe your job?
12) Is it hard to cooperate with the actors, or do you all have good relationships?
13) Do you often go back to England?
14) How long does it take for you to get a show ready?
15) Why don’t you produce more plays in one year?
16) How does it feel to work with SRT?
17) What made you come back to Singapore, Adrian?
18) Do you wish your two sons to be in the drama scene? Why?
19) Does drama affect your life? (If yes, how?)
20) If you could go back in the past, would you choose another career? Why?
21) Where do you get your inspiration to write/produce?
22) When you act, does it feel like you’re becoming your own character? Or do you still manage to be both people?
23) What qualities do you consider the most important to become an actor or a producer?
24) If we wanted to be in the drama department later in life, what advices would you give us?
Julie JOUSSE & Anaïs VASSALLO
Mercredi 18 janvier 2012 à 14:33
Quelques notes sur l'ouvrage d'Anne Ubersfeld, beaucoup d'autres arguments a utiliser, il faudrait réécrire le bouquin pour garder l'intéressant :)
Ca reste très théorique mais il ya quelque exemples qu'on peut peut etre voir sur youtube ou theatrecontemporain pendant le temps au CDI.
- Le personnage clef du théâtre est le spectateur.
- Le spectateur est coproducteur : c’est à lui que s’adresse la pièce dès l’écriture du dramaturge jusqu’au travail du comédien. C’est au spectateur que sont adressés tous les signes que dégage le comédien. On parle d’un contrat entre le spectateur et le comédien.
- Le spectateur est le personnage a qui s’adresse le comédien à chaque instants. Il n’y a pas de réponses mais d’infimes signaux : frémissements, rires, sourires.
- Le spectateur est parfois amener a bouger : Mnouchkine. C’est la participation du spectateur à la représentation comme le montre Peter Brooks dans ses espaces qui défient le théâtre à l’Italienne.
- Le spectateur s’identifie avec le personnage. Il y a un dialogue indirect entre les spectateurs. Je (spectateur) a travers le discours du comédien parle a Il (spectateur).
- La dénégation du spectateur : le spectateur sait que ce qui se passe est illusoire néanmoins il sait aussi que c’est vrai car cela se passe devant lui. C’est l’illusion théâtrale.
-> D’ou la mimesis de la réalité. Mais alors si on brise la mimesis, le spectateur ne deviendrait qu’observateur et non juge et participant de la représentation ?
- Selon Brecht la représentation théâtrale pourrait presque servir à étudier les hommes. La réaction d’un individu devant une scène. La scène est la reproduction miniature de l’activité humaine.
- Le spectateur donne du sens. Il ne doit pas être devant une lecture de signe mais joindre les signes qu’on lui propose et donner du sens. Par ailleurs il doit en avoir la mémoire pour pouvoir comprendre l’évolution des signes. Mais aussi la mémoire pour voir ce qu’il change et en conclure les conséquences sur tel ou tel action ou tel ou tel protagoniste.
Le plaisir
- Le plaisir du spectateur à voir la mimesis, de voir des choses qui arrivent sans qu’elles arrivent réellement.
- Le plaisir du spectateur à manier les signes de la représentation à sa manière pour en tirer un sens propre a sa perception
- Le plaisir du spectateur à se retrouver dans un lieu différent « je est un autre » il se représente dans le comédien qui est à l’autre bout du monde. Un plaisir de voyage et de découverte.
- Plaisir de l’impossible : dialoguer avec les morts, dire des choses que l’on ne dit pas, voir l’abstrait et l’absurde.
Mardi 3 janvier 2012 à 18:16
Roméo et Juliette
de Shakespeare
mis en scène par Olivier Py
Je suis allé voir Roméo et Juliette rempli de préjugés, pensant que malgré le grand talent de William, le classique n'étant pas ma tasse de thé, j'allai m'ennuyer à mourir en écoutant Roméo déblatérer pendant trois heures des poèmes sur l'amour et sur ''la guerre c'est mal et ça fait souffrir''.
J'ai pourtant été agréablement surpris par la modernité de la pièce. Plutôt que de m'ennuyer, la mise en scène et les dialogues (modifiés pour notre époque) m'ont fait LOLer un max.
En fait, les didascalies de Roméo et Juliette sont rares car comme Molière, Shakespeare est l'auteur et le metteur en scène de ses pièces. Du coup, les didascalies n'expliquent que des actions simples et un décor de base. Mais, plutôt que de respecter les textes prudes et les codes vestimentaires et scéniques auxquels je m'attendais (même si Shakespeare n'est pas un enfant de cœur), le metteur en scène de la pièce s'est permis des changements qui peuvent paraître choquant, mais qui ont fait presque tout le charme pour moi.
Le texte était plus que moderne, plutôt que des « mots » comme ''festoyer'', c'était ''faire la fiesta'' qu'on entendait, ce qui rendait la pièce tout de suite plus adaptée au public d'aujourd'hui et les blagues salaces de Mercutio (l'ami de Roméo) un peu plus compréhensibles : à la place de, je cite, ''empruntez à Cupidon ses ailes, et vous dépasserez dans votre vol notre vulgaire essor'', c'était ''Baise-là nom de Dieu!!'', c'est moins classe mais ça a le mérite d'être clair. Plutôt que de vouvoyer Roméo, Mercutio tutoies son ami, ce qui est déjà un peu plus naturel pour nous autres en 2012 (Bonne année d'ailleurs ;D ).
Malgré un flagrant changement de texte, ce dernier restait toujours acceptable et les moments de poésies étaient intacts, ainsi que l'amour de Roméo pour Juliette et vice-versa.
Les vêtements étaient tout aussi modernes : les costumes ridicules des précieuses et le maquillage des nobles auxquels je m'attendais s'étaient transformés en costards Hugo Boss pour Roméo et en Jeans pour les moins classes comme Mercutio. Juliette reste quand même en robe/pyjama en soie toute la pièce et sa nourrice porte toujours l'habit de nourrice qu'on a l'habitude de voir (robe grise qui cache ses formes). Les simples masques indiqués par William pour la fête chez les Capulet deviennent des masques d'animaux et les gens dansent comme à notre époque (alors que je m'attendais à un ballet prude), et la musique électronique remplace le menuet.
Olivier Py n'a pas non plus respecté la bienséance (rohlala) : on voit des scènes sexuelles entre Roméo et Mercutio, qui se prennent par l'arrière et même un moment où Mercutio débarque nu sur scène pour essayer d'attraper la nourrice de Juliette venue passer un message à Roméo lors de leurs ébats (à Roméo et Mercutio), avec le fameux ''Shake his pear'' (Shakespeare) faisant référence au sexe de Roméo.
Bref, Olivier Py a réussi à garder mon attention d'élève dissipé pendant 3 heures, en changeant le texte et la mise en scène de manière à rendre la pièce plus moderne, tout en conservant l'intégralité de la poésie des moments d'émotion.
A la fois choquante et émouvante, la mise en scène m'a parue parfaite.
Emilien de Zurich
Vendredi 16 décembre 2011 à 12:38
Même si ils ont pas l'air de faire grand chose sur leur table au CDI, nous avons repartit des pistes de recherches pour les vacances de Noël!
Majoritairement des lectures : Auguste Boal, Peter Brook, les Conversations (du festival d'Avignon) et autres...
A la recherche sur l'avis des metteurs en scène sur le rôle du public mais aussi comment le public peut intervenir dans une pièce de théâtre notamment avec le théâtre forum. On a déjà construit un schémas avec les points les plus importants mais surtout INTERACTIVITE et RECEPTION qui sont les deux parties qui nous paraissent les plus importantes.
On cherche a droite à gauche des informations pour pouvoir après tout mettre en commun et peut être répartir le travail sur des pistes de recherches plus spécifiques à nos trouvailles de Noël.
Bref, de nombreux articles à venir sur le rôle du public au théâtre .
Bonnes vacances a tous !! Beaucoup de repos pour 2012!
JOYEUX NOEL ET BONNE ANNEE !! :)
Anne, pour les TERM !
Jeudi 15 décembre 2011 à 12:40
Interview pour Alfian Sa'at
- Why did you choose to become a playwright?
- What do you like about “Drama”?
- How did you manage to get your first play produced?
- Do you travel a lot to present your plays?
- When did you start writing?
- Which is your first play produced abroad?
- Can you describe your job?
- Do you enjoy your job?
- What do you like most about your job?
- Are you frequently working in Singapore?
- Are you writing anything at the moment? (Can you tell us more about it?)
- When and where is going to be the next presentation of one of your plays?
- Are you working alone or do you have partners?
- Where did you get the passion for Drama?
- What is the most enriching experience you lived during your career?
- How did you get to this point of your career? Which way did you take?
- What studies did you do?
- Would you encourage your child to do the same?
- Did you came to a point where you had no work?
- Can you tell us more about the awards you received?
- What is the advice you would give us if we wanted to work in the scene-world?
Diane et Marie
Jeudi 15 décembre 2011 à 12:36
Sa carrière sur la scène théâtrale Singapourienne s’étend sur deux décennies. Celle-ci commence avec son travail sur « La Rétrospective » du TheatreWork en 1990. Elle continue par la suite en 2001, en jouant un rôle important dans une pièce de théâtre destinée aux enfants, s’intitulant « The Little Company ». Elle fut directrice artistique en collaboration avec le SRT, et a prouvé à plusieurs reprises une contribution stable et de qualité envers les théâtres locaux, remportant quatre nominations, dont celle de la meilleure directrice du ST Life ! Theatre Awards.
Tracie Pang est également une dramaturge de renom. Elle a en effet écrit plusieurs pièces de théâtres, toutes rédigées pour le SRT ainsi que des membres du SingTheatre, telles que : Just The Three Of Us, The Sound Collector, When I Grow Up, It’s A Hot Christmas, Grandma’s Journey, Little Victories, The Ugly Duckling, The Snow Queen (nominée en tant que Best Director, ST Life! Awards en 2006) The Gingerbread Man, The Dresser (nominée comme Best Director, ST Life! Theatre Awards en 2007), The Pillowman (nominée comme Best Director, ST Life! Theatre Awards en 2008), Boom, ou bien encore Defending The Caveman.
En 2010, elle fut directrice pour The Blackbird (pour le SRT) et pour The Full Monty, pour sa propre production, PANGDEMONiUM ! PRODUCTIONS .
Jeudi 15 décembre 2011 à 12:36
Jeudi 15 décembre 2011 à 12:18
Questions :
I. Envie de devenir actrice:
D’où est venue votre passion pour le théâtre ?
Qu’est-ce qui vous a poussez à créer votre compagnie ? Qu’avez-vous voulu accomplir en créant Sing’Theatre ?
Encourageriez-vous vos enfants si un jour ils décident de travailler dans ce milieu ?
Quelle est l’expérience la plus enrichissante de votre carrière selon vous ?
Où avez-vous appris à chanter ?
Comment êtes-vous arrivée jusque-là ? Avez-vous eu des problèmes à réussir, des obstacles et avez-vous eu du succès dès le début ?
II. Résumé de la carrière et projets futurs :
Quelles étaient vos premières impressions lorsque vous êtes arrivée sur la scène singapourienne ?
Aujourd’hui, sur quel projet travaillez-vous ?
Etes-vous fière de votre actuelle réussite ?
Quelle a été votre première pièce ?
Avez-vous déjà reçu des prix ?
Dans l’éventualité d’un retour en France, pensez-vous retourner à une vie d’actrice/directrice ? Ou de retourner à votre ancien métier ?
Nous avons lus que vous étiez danseuse, aimiez-vous cette carrière ?
Quel est votre plus grande réussite ?
Quel est votre plus grand regret ?
III. Impressions et avis
Trouvez-vous la carrière de directrice dure ?
Avez-vous rencontré des difficultés pour devenir directrice ? De la part de votre entourage ?
Avez-vous déjà pensé à travailler sur une autre scène que Singapour ?
Pourquoi préférez être directrice plutôt qu’actrice ?
Quelle est la personne la plus célèbre avec qui vous avez travaillé ?
Quel est votre conseil vous nous donneriez si un jour nous décidions de devenir acteur ?
Quel est votre avis sur la censure singapourienne ?
Quelle est l’atmosphère au sein de la troupe ? = cf. les différentes distributions de ses spectacles pour voir avec qui elle travaille (régulièrement).
Des anecdotes ?
D’où vient votre inspiration ? Vous avez produit essentiellement du théâtre musical, pour quelle raison ?
Pourquoi avez-vous décidé de mélanger la culture Française et la culture Singapourienne ?
Yohan et Auxane
Jeudi 15 décembre 2011 à 11:29
G. Kriplani en 2001 et 1998 dans le film « Rogue Trader ».
Jeudi 15 décembre 2011 à 11:23
Séances du jeudi... Samedis et stage...
05 JANV AMPHI 1 07 JANV SAMEDI (n°1)
12 JANV AMPHI 2
19 JANV CDI 1
26 JANV AMPHI 3 28 JANV SAMEDI (n°2)
02 FEVR AMPHI 4
09 FEVR AMPHI 5
16 FEVR AMPHI 6
23 FEVR CDI 2
15 MARS CDI 3
22 MARS AMPHI 7 24 MARS SAMEDI (n°3)
29 MARS AMPHI 8
05 AVR CDI 4
12 AVR STAGE 13, 14, 15, 16, 17 AVR STAGE
19 AVR AMPHI 9
10 MAI AMPHI 10 12 MAI SAMEDI (n°4)
17 MAI REPRESENTATION 18, 19 MAI REPRESENTATIONS
24 MAI CDI 5
31 MAI CDI 6
07 JUIN CDI 7
Jeudi 15 décembre 2011 à 10:54
Mercredi 14 décembre 2011 à 8:42
Mardi 13 décembre 2011 à 14:48
Quelques informations pour que vous ne partiez pas en vacances sans penser au théâtre...
Les samedis de répétitions (de 9h00 à 22h00 mini.) :
7 janv.
28 Janv.
17 mars
12 mai
Le stage (avec Régis Maynard) :
jeudi 12 AVR. au mardi 17 AVR. (non-stop).
de 9h00 à 19h00.
La programmation à venir (Les pièces qu'il faudra avoir vues) :
Obligatoire.- SPRING AWAKENING de Frederik Wedekind
Production PANGDEMONIUM - mise en scène Tracie Pang
Drama Center, National Library
du 3 au 26 février 2012.
Obligatoire.- SINGAPORE de Haresh Sharma
Production The Necessary Stage - mise en scène Alvin Tan
Esplanade
du 15 au 19 février 2012.
M1 Fringe Festival
Facultatif.- INRI
Production Cie ZEROGRAMMI (Italie)
Esplanade Theatre Studio
23-24 février 2012
M1 Fringe Festival
Facultatif.- (Opéra) DON GIOVANNI de W.A. Mozart et L. Da Ponte
Production Singapore Lyric Opera
Esplanade
24-28 février 2012.
Obligatoire.- (Danse) GISELLE
Production Ballet de l'Opéra de Paris
Esplanade
19-21 janvier 2012.
Facultatif.- CYRANO DE BERGERAC de Edmond Rostand
Production French Stage - mise en scène Sophie Bendel (théâtre semi-professionnel).
SIA Theatre, Lasalle College of the Arts.
février 2012.
A vos réservations...
... et n'oubliez pas, jeudi, dernier cours avant Noël... pensez aux papillottes !!!
Olivier Massis.
Jeudi 8 décembre 2011 à 12:32
PANGDEMONiUM!
PANGDEMONiUM! est une compagnie de théâtre singapourienne, créée par Tracie et Adrian Pang, les directeurs artistiques.
Au jour d’aujourd’hui, la compagnie n’a à son actif que deux pièces de théâtre et une comédie musicale : Closer et Dealer’s choice respectivement mises en scène et représentées en février-mars 2011 et septembre-octobre 2011; ainsi que Full Monty représentée en juin-juillet 2010. Elle a cependant le projet de monter une comédie musicale en février 2012, s’intitulant Spring Awakening.
Ces spectacles sont toujours représentés en langue Anglaise, mais sont néanmoins joués par des acteurs provenant de plusieurs parties du Monde.
Résumés des spectacles :
Full Monty est une comédie musicale comique, portant sur les problèmes du chômage et de la nécessité de l’argent pour vivre.
L'intrigue de Closer tourne autour de deux couples : Alice (une danseuse dans une boîte de nuit) et Dan (un écrivain), ainsi que Larry (un docteur) et Anna (une photographe).
Ces quatre personnages entretiennent des relations ambigües tout au long de la pièce, qui iront presque jusqu’à détruire leurs couples. En effet, Anna et Dan tombent amoureux, trompant ainsi Larry et Alice qui décident par la suite de se venger en faisant de même. Jalousie, trahison, séparation, pardon : cette pièce explore toutes les facettes de l’amour, une émotion qu’on peut juger, après cette pièce, difficile à cerner. Larry et Anna se rendront compte de leur erreur et finiront donc par retourner ensemble ; tandis qu’Alice et Dan se sépareront.
Dealer’s Choice écrit par Patrick Marber et dirigé par Tracie Pang est une comédie qui retrace les addictions au jeu des six acteurs. L’histoire se déroule dans un restaurant à Londres qui transforme sa cave en salle de poker le soir. On découvre alors Stephen le directeur du restaurant animant le poker le soir, joueur addictif qui a entrainé son fils Carl pour pouvoir le voir au moins une fois par semaine. Ce dernier a de nombreuses dettes notamment envers Ash qui vit par le jeu et se joint à leurs parties amateurs pour récupérer l’argent qui lui est du. Deux autres joueurs compulsifs Sweeney, cuisinier au restaurant et Frankie, serveur sont des habitués de ces parties. Reste le personnage le plus étrange de cette pièce Mugsy, qui rêve d’ouvrir un restaurant dans des grandes toilettes, avec Carl et espère un jour, malgré sa tendance à toujours être perdant, gagner assez pour pouvoir réaliser son rêve.
Julie JOUSSE et Anaïs VASSALLO