theatrelfs

Samedi 18 février 2012 à 4:25

 
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Surprenant !!

C’était ma première impression à l’entracte. Je n’en revenais pas qu’un gouvernement comme celui de Singapour accepte la diffusion de ce spectacle qui présente beaucoup de scènes de sexualité.
 
Spring Awakening est une pièce de théâtre originairement écrite au XIXè siècle qui veut mettre en scène la découverte de la sexualité chez les adolescents. Les sujets abordés tel que la masturbation, l’homosexualité, le viol, l’avortement et le suicide ont été l’objet de la censure en Allemagne. 
 
Malgré cela, Spring Awakening est bel et bien sur les scènes de Singapour du 3 au 26 Février ! Cette pièce de théâtre est d’ailleurs devenue très à la mode notamment depuis qu’elle fut ornée de 11 récompenses au Tony Award en 2007 pour « la meilleure comédie musicale ». Elle a fait le tour de Brodway, et est parti récemment en tournée en France, Allemagne et Angleterre.
 
C’est une production de la compagnie Pangdemonium mise en scène par Tracie et Adrian Pang avec 11 jeune comédiens (+3 enfants) ainsi qu’Adrian Pang et Candice de Rozario qui jouent le rôle des adultes.


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Spring Awakening raconte l’histoire d’un groupe d’adolescents qui découvrent la sexualité. Ces jeunes cherchent à comprendre le son fonctionnement, or entouré de parents sévères, ils doivent le découvrir par eux-mêmes. Melchior Gabor, le personnage principal écrit un essai sur le sujet qu’il communique à Mortiz Stiefel, son meilleur ami. Finalement, Melchior et Wendla (une amie d’enfance) passent à l’acte sur scène à deux reprises, et la jeune fille tombe en ceinte, conséquence auquel le jeune Melchior n'avait pas pensé…

 
Enfin, si le coté « Comédie » était très bien réussi, le coté « Musical » avait encore quelques progrès à faire selon moi. Ce sont des comédiens avant tout, et non des chanteurs c’est pour cette raison que par moment, les voix n’étaient pas très justes. Mais la musique était amusante et aussi surprenante. De plus, j’ai trouvé dommage qu’ils se servent de micros supplémentaire pour chanter alors qu’on les entendaient très bien avec ceux qui étaient collés sur leur front.
 

Une dernière chose à dire : « IT’S A FUCKING SHOW ! »

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  “Fantastic!…Be prepared to say “Oh, I didn’t know musicals could do that!’”
New York Magazin
 

Il te reste une semaine pour prendre des places, donc si tu ne l’a pas encore vu, il en est encore temps !!
 
 

Diane

Lundi 30 janvier 2012 à 11:35

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 Exit the King  par Eudore
Il s'agit d'un spectacle mis en scène par Alain Timar qui est un metteur en scène francais, il a dirigé plus de 50 productions en france, et il en a égalemt fait dans d'autres pays d'Europe comme la Hongrie ou l'Espagne. Exit the king est une pièce écrite par Eugene Ionesco, il raconte l'histoire d'un roi assez pretentieux qui apprend qu'il va mourir dans une heure et demi, et il est entouré de ses deux femmes, de som medecin et de ses serviteurs. Lorsque je suis entré dans la salle, je dois dire que j'eatait un peu sceptique, car je me suis dis que deja le titre ne me tentais pas tellement, mais la pièce a vite su faire taire cette peur, et finalement je suis resoortit de cette salle content, et j'ai donc passé un bon moment. Ce qui ma plu dans cette mise en scène, c'est avant tout le jeu des acteurs, surtout celui du roi qui jouait bien le dirigeant vaniteux et prétentieux, et aussi le role du docteur un peu fou. Une autre chose aussi qui était bien c'était qu'au début, on sentait que l'acteur s'addressait au spectateur mais qu'il y avait comme même un quatrième mur, et puis tout d'un coup, l'acteur l'a brisé en venant tendre cette canne a pêche à un spectateur et puis le médecin a continuer à entretenir ce lien avec le spectateur. Donc au final, je suis entré dans cette salle avec l'idée que j'allais m'ennuyer et j'en suis ressortit avec l'idée que je m'étais amusé. 

Vendredi 20 janvier 2012 à 18:48

Monsieur Massis a dit qu'il n'était pas interdit d'écrire plusieurs articles sur un meme spectacle. Giselle ayant déja été "réservé", je me suis quand meme laissée emporter par l'envie d'écrire un article sur ce ballet duquel je viens de rentrer.


GISELLE

Opéra de Paris

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Giselle, ou les Wilis est un ballet composé par Adolphe Adam, sur un livret de Théophile Gautier. La chorégraphie originale est de Jean Coralli et Jules Perrot.
Depuis sa création le 28 juin 1841 à l'Opéra de Paris, Giselle est considéré comme le symbole même du ballet romantique. C'est Théophile Gautier qui en suggère l'argument à Vernoy de Saint Georges, en s'inspirant d'un passage du livre de Henri Heine, De l'Allemagne, qui traite de la légende des Wilis, ces fiancées mortes la veille de leurs noces, qui entraînent les voyageurs imprudents dans des rondes mortelles la nuit tombée.

 

Ces quatre représentations reprirent la chorégraphie de Jean Coralli et Jules Perrot, adaptée par Patrice Bart et Eugène Polyakov sur la musique d'origine d'Adolphe Adam.
Parmi la distribution des rôles titres, on retrouve: Laetitia Pujol , Aurélie Dupont, Emilie Cozette, Benjamin Pech, Claire-marie Osta, Mathieu Ganio ou bien encore Josua Hoffalt.

 

Le rideau se lève sur un village durant les vendanges. Nous découvrons Albrecht, prince de Silésie, déguisé en paysan dans le but de séduire incognito la jeune Giselle à qui il jure fidélité. Lorsqu’il est avec elle, l’homme oublie les contraintes dues à son rang. Il s’invente une nouvelle vie, rêve d’un bonheur simple. Giselle, quant à elle, danse en son honneur, oubliant les remontrances de sa mère qui lui rappelle l’histoire des Willis, ces tristes jeunes filles transformées en fantômes pour avoir trop dansé. Bien évidemment, la réalité refait rapidement surface. Le garde-chasse Hilarion, amoureux de Giselle découvre qu’Albrecht n’est autre que le duc de Silésie, fiancé à Bathilde, la fille du duc de Courlande. Devant tous il révèle l’identité de son rival. Giselle en perd la raison et s’effondre sans vie.
Cette fin tragique annonce la noirceur du second acte. La végétation touffue du début a laissé place à des arbres décharnés. Une brume diaphane envahit le plateau tandis qu’une armée fantastique se lève, menée par la reine Myrtha. Ce sont les "Willis", les fantômes de jeunes filles mortes avant leurs noces, prêtent à traquer les hommes qui ont causé leur malheur. Des vagues de tutus blancs déferlent alors dans l’obscurité, aussi séduisantes que menaçantes et impitoyables. Giselle en fait partie. Mais, elle, aura pitié de son prince qu'elle essaiera de sauver en vain .Albrecht ne sera sauvé que par les premières lueurs de l’aube qui font rentrer les Willis dans leurs tombes.

 


En arrivant dans la salle de spectacle, je m'attendais déjà à être conquise par le ballet de deux heures qui allait se jouer sous mes yeux. Et je n'ai en effet pas été déçue.
Tout d'abord, je dirais que les décors m'ont beaucoup plu. Très recherchés et travaillés, ils allaient à la perfection avec les chorégraphies et les costumes des danseurs. Dans le premier acte, les collines surplombant les maisonnettes du village, tout ça dans les tons beige et jaune, s'unissaient à merveille avec les costumes des villageois. Ces couleurs chaudes apportaient une touche fraiche et pleine de gaîté qui reflétait bien l'atmosphère du premier acte. Par la suite, la forêt sombre dans laquelle nous nous retrouvions emportés dans le deuxième acte m'a également beaucoup plu. L'ambiance lugubre et sombre du bois-cimetière était en total opposition avec les robes blanches, représentant la pureté de ces Willis, ce qui apportait un contraste de luminosité assez intéressant.
En outre, j'ai également beaucoup apprécié les costumes des danseurs. En effet, dans la première partie du ballet, les danseurs incarnant les villageois portaient des costumes légers et de couleurs vives qui m'ont transporté dans un petit village en plein été.Les robes des villageoises se soulevaient à chaque bond de celles-ci, ce qui donnait un aspect très aérien à la chorégraphie. Par la suite, j'ai trouvé que les costumes des Nobles étaient très recherchés et raffinés, bien que peut être un peu trop à mon goût. Giselle était reconnaissable de loin grâce à sa robe bleue ciel, qui lui donnait une figure enfantine et naïve. Cependant, bien que le costume d'Albrecht était tres beau, j'ai trouvé qu'il ne se différenciait pas assez de ceux des villageois qui portaient également des vêtements dans les teintes jaunes. Dans le deuxième acte, j'ai beaucoup apprécié les robes blanches des Willis. Elles étaient en effet en parfaite harmonie avec l'atmosphère du ballet. Le sol noir reflétait les robes blanches et lumineuses des danseuses, si bien qu'à certains moments je me suis surprise à comparer les danseuses à des nénuphars blancs sur une eau calme et sombre. Ces robes reflétant la pureté et la virginité des Willis nous permettaient de percevoir une touche de légèreté chez ces jeunes femmes, bien que celle-ci fut 
étouffée par cette foret noire écrasante. J'ai surtout beaucoup apprécié, durant l'acte deux, les voiles des Willis qui “s'envolaient” comme par magie, tirés par un fil invisible vers l'extérieur du plateau. J'ai trouvé que cet élément apportait un plus au côté esthétique du ballet, et par la même occasion, une petite touche d'humour bien accueillie par le public.

Enfin, je termine avec la performance des danseurs. Ils étaient tous très talentueux. On sentait dans chacun de leurs mouvements une légèreté et une grâce admirables. Leurs pas paraissaient légers, presque flottant sur le sol. Les sauts furent tous tres bien réalisés, par ces danseurs dotés d'une souplesse extraordinaire. Une agilité accompagnée d'une élégance et d'un charme incroyable émanaient des portées durant les "pas de deux". Nous ressentions une véritable passion entre les deux danseurs qui étaient complètement dans leur role.
En ce qui me concerne, j'ai énormement apprécié la deuxième partie. Je trouvais en effet qu'une réelle grâce se dégageait des chorégraphies. Les danseuses qui étaient, si je ne me trompe, pas vingt-quatre sur la scène, étaient toutes en harmonie les unes avec les autres. Elles flottaient sur le sol avec une grâce étonnante: nous avions sous les yeux des vagues de tutus blancs qui ressortaient de ce sol noir et sombre . La reine éxécuta au début de l'acte deux un solo superbe qui me captiva, et m'impressionna, surtout avec les “petits pas réalisés sur pointes” qui permettaient de lui donner un aspect très aérien, si bien que cela donnait l'impression qu'elle ne touchait plus le sol. Par la suite, j'ai également beaucoup apprécié la danse d'Hilarion avant sa mort. Il éxécuta en effet de nombreux sauts réalisés à la perfection. C'était magnifique. Enfin, le dernier solo du Prince fut également à la hauteur de mes attentes: c'était splendide.De nombreux pas techniques furent éxécutés sans la moindre erreur.C'était tout simplement remarquable.
Les danseurs étaient tous des plus bouleversants, surtout Aurélie Dupont qui lors de la représentation à laquelle j'ai assisté, représentait Giselle. Elle incarnait à merveille cette jeune-femme terrifiée de se voir trahie, sombrant dans la folie. En effet, lors de la révélation, nous la voyons cheveux détachés et tremblante de tout son corps. Elle était vraiment dans son rôle, et nous pouvions ressentir une vive émotion qui se dégageait de cette danseuse étoile.
Enfin, l'orchestre fut également d'une qualité admirable. Les morceaux du ballet furent tous réalisés à la perfection. L'oreille était bercée et emportée par une musique des plus douces, qui bien évidemment, collait parfaitement avec les chorégraphies.
J'ai donc comme vous avez pu le comprendre énormement apprécié ce ballet. Je n'y ai trouvé que très peu de défauts. En effet, j'ai trouvé durant le premier acte que lorsque le Prince et ses sujets se rendent au village et s'attroupent tous sur la place centrale, la scène était un petit peu “surchargée”. Durant quelques courtes minutes, un entassement désordonné de gens occupaient la scène, ce qui me déplu. Les nobles ainsi que les gardes qui ne dansaient pas étaient, à mon goût, un peu de trop, et envahissaient l'espace de danse. De plus, bien que les décors m'aient totalement séduite, j'ai trouvé aux premiers abords qu'ils étaient un petit peu trop “classiques”, et qu'ils reflettaient plus un décor de conte pour enfants. Mais les danses et costumes se marriant à merveille avec ceux-ci, cela m'a donc fait vite oublié ce petit détail qui m'irritait.

Cet univers que nous offrait le ballet grâce aux décors enfantins, aux costumes colorés, aux danses aériennes, ainsi qu'à la musique envoutante, m'a permis de retomber en enfance pendant deux heures, durant lesquelles je fus emerveillée par ce spectacle magnifique.

Etant allée voir le ballet moderne de Giselle il y a deux ans, interprété par l'Opéra de Lyon, j'ai été contente de pouvoir comparer. Il y a deux ans, j'avais également beaucoup apprécié lespectacle que j'étais allée voir, et qui avait été splendide J'ai vu ce soir les différences frappantes entre ce ballet classique et le moderne. Les chorégraphies, costumes et décors n'ont strictement rien à voir. Ce n'est pas déplaisant de voir le contraste entre ces deux versions du ballet, qui furent toutes les deux superbes.!

J'espère que ceux qui y sont aller (ou qui iront) seront aussi ravis que moi à la sortie.!
Sur ce, je vous souhaite à tous un bon nouvel an chinois!

Anaïs VASSALLO

Jeudi 19 janvier 2012 à 12:18

iChestnut 15

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Un groupe d’artistes singapouriens annuel parodiant la politique, les personnalités et la culture pop. Après 15 ans et 11 représentations complètes, iChestnuts 15 lance son propre site internet où les fans pourront revoir les vieux (et nouveaux) sketchs chez eux.
La formule, a dès le départ, était gagnante : plusieurs comiques se regroupent pour exécuter une série « fabuleusement frivole » de sketchs et des chansons qui font des remarques et parlent de l'année passée. Leurs meilleures parodies se retrouvent sur YouTube avec presque 80,000 vues.
Chaque représentation obtient des  récompenses sur son scénario et ses artistes polyvalents comme Rodney Oliveiro, Judy Ngo et Bronzage Judee, y compris Lee Kuan l'If et le metteur en chef de films locaux Amy Chua.  Avec un tel succès, le spectacle a aussi voyagé à l'étranger.
Le spectacle inclura aussi une parodie de film d'épouvante de l'armée, 23:59, une version à petit budget de  « le Roi MerLion », un nouveau sketch commentant la politique appelé ' The Amy (and Yan) Ah Mee Show'.
La pièce dure 2h30, avec une entracte d’un quart d’heure au Raffles Hotel, du 5 au 21 janvier. Prenez vite vos places !
 
Opportune

Jeudi 19 janvier 2012 à 11:21

Jeudi 19 janvier 2012 à 11:20

 

PANGDEMONiUM !

Tracie and Adrian Pang


Questions portant sur l’interview :

1) How long have you been in the drama area and what made you decide to do that?

2) Did you always know that you wanted to become an artistic director/actor?

3) How do you choose the plays you decide to direct?

4) What makes you think that someone is a good actor? How do you choose them?

5) Why always choose themes that concern real life, such as money, love etc.?

6) Why do you decide to direct drama plays as well as movies or musicals?

7) What do you like the most in your career of artistic director/actor?

8) When you’re not preparing a new show, what else do you usually do?

9) Do you consider money and love the most important mores?

10) When did you get the passion for drama? And where?

11) Can you describe your job?

12) Is it hard to cooperate with the actors, or do you all have good relationships?

13) Do you often go back to England?

14) How long does it take for you to get a show ready?

15) Why don’t you produce more plays in one year?

16) How does it feel to work with SRT?

17) What made you come back to Singapore, Adrian?

18) Do you wish your two sons to be in the drama scene? Why?

19) Does drama affect your life? (If yes, how?)

20) If you could go back in the past, would you choose another career? Why?

21) Where do you get your inspiration to write/produce?

22) When you act, does it feel like you’re becoming your own character? Or do you still manage to be both people?

23) What qualities do you consider the most important to become an actor or a producer?

24) If we wanted to be in the drama department later in life, what advices would you give us?


Julie JOUSSE & Anaïs VASSALLO


Mercredi 18 janvier 2012 à 14:33

Quelques notes sur l'ouvrage d'Anne Ubersfeld, beaucoup d'autres arguments a utiliser, il faudrait réécrire le bouquin pour garder l'intéressant :)
Ca reste très théorique mais il ya quelque exemples qu'on peut peut etre voir sur youtube ou theatrecontemporain pendant le temps au CDI.

- Le personnage clef du théâtre est le spectateur.

 

- Le spectateur est coproducteur : c’est à lui que s’adresse la pièce dès l’écriture du dramaturge jusqu’au travail du comédien. C’est au spectateur que sont adressés tous les signes que dégage le comédien. On parle d’un contrat entre le spectateur et le comédien.

 

- Le spectateur est le personnage a qui s’adresse le comédien à chaque instants. Il n’y a pas de réponses mais d’infimes signaux : frémissements, rires, sourires.

 

- Le spectateur est parfois amener a bouger : Mnouchkine. C’est la participation du spectateur à la représentation comme le montre Peter Brooks dans ses espaces qui défient le théâtre à l’Italienne.

 

- Le spectateur s’identifie avec le personnage. Il y a un dialogue indirect entre les spectateurs. Je (spectateur) a travers le discours du comédien parle a Il (spectateur).

 

- La dénégation du spectateur : le spectateur sait que ce qui se passe est illusoire néanmoins il sait aussi que c’est vrai car cela se passe devant lui. C’est l’illusion théâtrale.

-> D’ou la mimesis de la réalité. Mais alors si on brise la mimesis, le spectateur ne deviendrait qu’observateur et non juge et participant de la représentation ?

 

- Selon Brecht la représentation théâtrale pourrait presque servir à étudier les hommes. La réaction d’un individu devant une scène. La scène est la reproduction miniature de l’activité humaine.

 

- Le spectateur donne du sens. Il ne doit pas être devant une lecture de signe mais joindre les signes qu’on lui propose et donner du sens. Par ailleurs il doit en avoir la mémoire pour pouvoir comprendre l’évolution des signes. Mais aussi la mémoire pour voir ce qu’il change et en conclure les conséquences sur tel ou tel action ou tel ou tel protagoniste.

 

Le plaisir

 

- Le plaisir du spectateur à voir la mimesis, de voir des choses qui arrivent sans qu’elles arrivent réellement.

 

- Le plaisir du spectateur à manier les signes de la représentation à sa manière pour en tirer un sens propre a sa perception

 

- Le plaisir du spectateur à se retrouver dans un lieu différent « je est un autre » il se représente dans le comédien qui est à l’autre bout du monde. Un plaisir de voyage et de découverte.

 

- Plaisir de l’impossible : dialoguer avec les morts, dire des choses que l’on ne dit pas, voir l’abstrait et l’absurde.

Par Anne pour les Term :)

Vendredi 6 janvier 2012 à 14:11

 Rôle et Place du Public

 

Mardi 3 janvier 2012 à 18:16

Roméo et Juliette

de Shakespeare

mis en scène par Olivier Py

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Je suis allé voir Roméo et Juliette rempli de préjugés, pensant que malgré le grand talent de William, le classique n'étant pas ma tasse de thé, j'allai m'ennuyer à mourir en écoutant Roméo déblatérer pendant trois heures des poèmes sur l'amour et sur ''la guerre c'est mal et ça fait souffrir''.

 

J'ai pourtant été agréablement surpris par la modernité de la pièce. Plutôt que de m'ennuyer, la mise en scène et les dialogues (modifiés pour notre époque) m'ont fait LOLer un max.

 

En fait, les didascalies de Roméo et Juliette sont rares car comme Molière, Shakespeare est l'auteur et le metteur en scène de ses pièces. Du coup, les didascalies n'expliquent que des actions simples et un décor de base. Mais, plutôt que de respecter les textes prudes et les codes vestimentaires et scéniques auxquels je m'attendais (même si Shakespeare n'est pas un enfant de cœur), le metteur en scène de la pièce s'est permis des changements qui peuvent paraître choquant, mais qui ont fait presque tout le charme pour moi.

 

Le texte était plus que moderne, plutôt que des « mots » comme ''festoyer'', c'était ''faire la fiesta'' qu'on entendait, ce qui rendait la pièce tout de suite plus adaptée au public d'aujourd'hui et les blagues salaces de Mercutio (l'ami de Roméo) un peu plus compréhensibles : à la place de, je cite, ''empruntez à Cupidon ses ailes, et vous dépasserez dans votre vol notre vulgaire essor'', c'était ''Baise-là nom de Dieu!!'', c'est moins classe mais ça a le mérite d'être clair. Plutôt que de vouvoyer Roméo, Mercutio tutoies son ami, ce qui est déjà un peu plus naturel pour nous autres en 2012 (Bonne année d'ailleurs ;D ).

Malgré un flagrant changement de texte, ce dernier restait toujours acceptable et les moments de poésies étaient intacts, ainsi que l'amour de Roméo pour Juliette et vice-versa.

 

Les vêtements étaient tout aussi modernes : les costumes ridicules des précieuses et le maquillage des nobles auxquels je m'attendais s'étaient transformés en costards Hugo Boss pour Roméo et en Jeans pour les moins classes comme Mercutio. Juliette reste quand même en robe/pyjama en soie toute la pièce et sa nourrice porte toujours l'habit de nourrice qu'on a l'habitude de voir (robe grise qui cache ses formes). Les simples masques indiqués par William pour la fête chez les Capulet deviennent des masques d'animaux et les gens dansent comme à notre époque (alors que je m'attendais à un ballet prude), et la musique électronique remplace le menuet.

Olivier Py n'a pas non plus respecté la bienséance (rohlala) : on voit des scènes sexuelles entre Roméo et Mercutio, qui se prennent par l'arrière et même un moment où Mercutio débarque nu sur scène pour essayer d'attraper la nourrice de Juliette venue passer un message à Roméo lors de leurs ébats (à Roméo et Mercutio), avec le fameux ''Shake his pear'' (Shakespeare) faisant référence au sexe de Roméo.

 

Bref, Olivier Py a réussi à garder mon attention d'élève dissipé pendant 3 heures, en changeant le texte et la mise en scène de manière à rendre la pièce plus moderne, tout en conservant l'intégralité de la poésie des moments d'émotion.

A la fois choquante et émouvante, la mise en scène m'a parue parfaite.

Emilien de Zurich

Vendredi 16 décembre 2011 à 12:38

Même si ils ont pas l'air de faire grand chose sur leur table au CDI, nous avons repartit des pistes de recherches pour les vacances de Noël!
Majoritairement des lectures : Auguste Boal, Peter Brook, les Conversations (du festival d'Avignon) et autres...
A la recherche sur l'avis des metteurs en scène sur le rôle du public mais aussi comment le public peut intervenir dans une pièce de théâtre notamment avec le théâtre forum. On a déjà construit un schémas avec les points les plus importants mais surtout INTERACTIVITE et RECEPTION qui sont les deux parties qui nous paraissent les plus importantes.
 
On cherche a droite à gauche des informations pour pouvoir après tout mettre en commun et peut être répartir le travail sur des pistes de recherches plus spécifiques à nos trouvailles de Noël. 

Bref, de nombreux articles à venir sur le rôle du public au théâtre .

Bonnes vacances a tous !! Beaucoup de repos pour 2012!

JOYEUX NOEL ET BONNE ANNEE !! :) 

Anne, pour les TERM !
 

Jeudi 15 décembre 2011 à 12:40


Interview pour Alfian Sa'at

Why did you choose to become a playwright?

- What do you like about “Drama”?

- How did you manage to get your first play produced?

- Do you travel a lot to present your plays?

- When did you start writing?

- Which is your first play produced abroad?

- Can you describe your job?

- Do you enjoy your job?

- What do you like most about your job?

- Are you frequently working in Singapore?

- Are you writing anything at the moment? (Can you tell us more about it?)

- When and where is going to be the next presentation of one of your plays?

- Are you working alone or do you have partners?

- Where did you get the passion for Drama?

- What is the most enriching experience you lived during your career?

- How did you get to this point of your career? Which way did you take?

- What studies did you do?

- Would you encourage your child to do the same?

- Did you came to a point where you had no work?

- Can you tell us more about the awards you received?

- What is the advice you would give us if we wanted to work in the scene-world?

Diane et Marie


Jeudi 15 décembre 2011 à 12:36

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Directrice Artistique

Formée à l’université de Croydon à Londres, Tracie a tout de suite commencé une carrière de comédienne dans plusieurs maisons de production, et a fait de nombreuses tournées à travers le Royaume-Uni ainsi qu’autour du continent Asiatique. Son parcours comprend des collaborations avec de nombreuses compagnies de théâtre, telles The Singapore Repertory Theatre, Quicksilver Theatre Company, Johnny Ball Productions, Mu-Lan Theatre Company, Pimlico Opera, Theatre Royal Stratford East, Surrey Opera, et TheatreWorks, mais également avec West End à Londres.


Sa carrière sur la scène théâtrale Singapourienne s’étend sur deux décennies. Celle-ci commence avec son travail sur « La Rétrospective » du TheatreWork en 1990. Elle continue par la suite en 2001, en jouant un rôle important dans une pièce de théâtre destinée aux enfants, s’intitulant « The Little Company ». Elle fut directrice artistique en collaboration avec le SRT, et a prouvé à plusieurs reprises une contribution stable et de qualité envers les théâtres locaux, remportant quatre nominations, dont celle de la meilleure directrice du ST Life ! Theatre Awards.

Tracie Pang est également une dramaturge de renom. Elle a en effet écrit plusieurs pièces de théâtres, toutes rédigées pour le SRT ainsi que des membres du SingTheatre, telles que : Just The Three Of Us, The Sound Collector, When I Grow Up, It’s A Hot Christmas, Grandma’s Journey, Little Victories, The Ugly Duckling, The Snow Queen (nominée en tant que Best Director, ST Life! Awards en 2006) The Gingerbread Man, The Dresser (nominée comme Best Director, ST Life! Theatre Awards en 2007), The Pillowman (nominée comme Best Director, ST Life! Theatre Awards en 2008), Boom, ou bien encore Defending The Caveman.
En 2010, elle fut directrice pour The Blackbird (pour le SRT) et pour The Full Monty, pour sa propre production, PANGDEMONiUM ! PRODUCTIONS .
 
En tant que Co-directrice artistique de PANGDEMONiUM !, Tracie fait tout son possible pour continuer d’apporter un travail exceptionnel et des pièces émouvantes qui passionnent et inspirent les spectateurs.
 
 
 
Directeur artistique
 
Après avoir obtenu une licence de droits et de psychologie à l’Université Keele, Adrian a débuté une carrière d’acteur au Royaume-Uni qui dura huit ans. Il est notamment connu pour les productions de Hair au West End’s Old Vic Theatre ; pour son rôle d’Oberon dans A Midsummer Night’s Dream ; de Dromio de Syracuse dansThe Comedy of Errors ; pour les productions de The Men’s Womb; A Christmas Carol; Tormented; The Circles of Paradise; One For The Road; Sleeping Beauty; New Territories; Take Away; Leaving Turnpike Lane et Privates On Parade.
 
Adrian a également fait quelques apparitions à la télévision britannique, dans The Fragile Heart opposite the late great Sir Nigel Hawthorne; Lovejoy avec Ian McShane; Arabian Nights avec Jason Scott Lee; et il est également apparu dans Happiness; Bugs; Call Red; Taggart; The Knock; Trauma and The Bill.
De plus il a aussi un passé cinématographique puisqu’il a obtenu le rôle principal dans Spiralling ; et un rôle secondaire dans SpyGame avec Brad Pitt et Robert Redford ; Nightwatch avec Pierce Brosnan ; Everybody loves Sunshine avec David Bowie ; et bien d’autres encore.
 
Pendant cette période, il revient occasionnellement dans son pays natal, Singapour, pour travailler sur des spectacles, notamment pour la première production d’une pièce de Shakespeare de SRT : In the Park, avec le rôle-titre de Hamlet. Il a néanmoins aussi participle à de nombreuses productions telles Little Shop of Horrors; Into The Woods; The Glass Menagerie and They’re Playing Our Song opposite Lea Salonga. A cette époque, il était cependant connu des Singapouriens pour son rôle principal dans le film disco de Glen Goei, Forever Fever.
 
En 2001, il se réinstalle à Singapour avec sa famille.
Il a également été animateur pour plusieurs séries télévisées chinoises, ainsi que pour le jeu Deal Or No Deal. Adrian Pang a aussi animé de nombreux événements, allant de cérémonies d’entreprises à des cérémonies de remises de prix, en passant par la Parade du Jour National.
 
Durant ces dernières années, il a continué sa carrière dans le cinéma, sans cependant négliger celle consacrée au théâtre, entre autres grâce à quelques productions de SRT. Adrian Pang a été nominé pour le prix du Meilleur Acteur au At the Life! Theatre Awards grâce à son rôle dans The Odd Couple and the Pillowman, et a gagné deux fois le prix du Meilleur Acteur pour son rôle dans The Dresser and Much Ado About Nothing. Il est aujourd’hui le co-directeur artistique de PABGDEMONiUM ! PRODUCTIONS.

Julie JOUSSE & Anaïs VASSALLO
 
 

Jeudi 15 décembre 2011 à 12:36

Interview de Charlotte Nors

-      Since when are you living in Singapore?
-      Why did you choose to work for the SRT?
-      Where/when did get your passion for drama?
-      Have you ever wanted to be an actress?
-      Can you briefly describe your job?
-      Do you enjoy your job?
-      Would you encourage your kids to work in this area?
-      What changed since 2001?
-      How did you help to expand the SRT?
-      Did you have any obstacles you had to face to get where you are now?
-      What is your biggest success and biggest regret in your career?
 
Interview de Gaurav Kripalani

-      Since when are you living in Singapore?
-      Why did you stop acting and choose to work for the SRT?
-      Where/when did get your passion for drama?
-      Do you remember your first play ad how you felt that day?
-      Have you already received prizes for acting?
-      Can you briefly explain your work as an Artistic Director?
-      Do you enjoy your job?
-      Would you encourage your kids to work in this area?
-      Did you have any obstacles you had to face to get where you are now?
-      What is your biggest success and biggest regret in your career?
 
Opportune

Jeudi 15 décembre 2011 à 12:18

Questions :

I. Envie de devenir actrice:

D’où est venue votre passion pour le théâtre ?
Qu’est-ce qui vous a poussez à créer votre compagnie ? Qu’avez-vous voulu accomplir en créant Sing’Theatre ?
Encourageriez-vous vos enfants si un jour ils décident de travailler dans ce milieu ?
Quelle est l’expérience la plus enrichissante de votre carrière selon vous ?
Où avez-vous appris à chanter ?
Comment êtes-vous arrivée jusque-là ? Avez-vous eu des problèmes à réussir, des obstacles et avez-vous eu du succès dès le début ?

 

II. Résumé de la carrière et projets futurs :

Quelles étaient vos premières impressions lorsque vous êtes arrivée sur la scène singapourienne ?
Aujourd’hui, sur quel projet travaillez-vous ?
Etes-vous fière de votre actuelle réussite ?
Quelle a été votre première pièce ?
Avez-vous déjà reçu des prix ?
Dans l’éventualité d’un retour en France, pensez-vous retourner à une vie d’actrice/directrice ?
Ou de retourner à votre ancien métier ?
Nous avons lus que vous étiez danseuse, aimiez-vous cette carrière ?
Quel est votre plus grande réussite ?
Quel est votre plus grand regret ?

 

III. Impressions et avis

Trouvez-vous la carrière de directrice dure ?
Avez-vous rencontré des difficultés pour devenir directrice ?
De la part de votre entourage ?
Avez-vous déjà pensé à travailler sur une autre scène que Singapour ?
Pourquoi préférez être directrice plutôt qu’actrice ?
Quelle est la personne la plus célèbre avec qui vous avez travaillé ?
Quel est votre conseil vous nous donneriez si un jour nous décidions de devenir acteur ?
Quel est votre avis sur la censure singapourienne ?
Quelle est l’atmosphère au sein de la troupe ? = cf. les différentes distributions de ses spectacles pour voir avec qui elle travaille (régulièrement).
Des anecdotes ?
D’où vient votre inspiration ? Vous avez produit essentiellement du théâtre musical, pour quelle raison ?
Pourquoi avez-vous décidé de mélanger la culture Française et la culture Singapourienne ?

Yohan et Auxane

Jeudi 15 décembre 2011 à 11:29

 
 
 
 
Gaurav Kripalani

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G. Kriplani en 2001 et 1998 dans le film « Rogue Trader ».

Gaurav Kripalani est né en Inde, a fait ses études à Singapour,  a été diplômé dans le Théâtre et dans la Science Politique en Californie, a travaillé brièvement à Washington, DC et est ensuite retourné à Singapour en 1996.
Gaurav a joué peu de temps sur scène et à la télévision, mais est maintenant le Directeur Artistique du SRT depuis dix ans. Gaurav a aidé le SRT à devenir un des théâtres principaux de langue anglaise en Asie, il aime beaucoup travailler au SRT et chercher des meilleurs moyens d’enrichir le théâtre à Singapour.

 
 
Charlotte Nors
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Quand Charlotte Nors arrive  à Singapour en 2000, elle espère travailler la société InMobia. Mais le sort en décidera autrement et elle passera de « sans-emploi » à « double directrice ». Elle est la Directrice exécutif et la Directrice de Marketing du SRT, et elle affirme avoir le meilleur travail au monde.
 
Elle a contribué dans le développement du SRT et a mis en œuvre sa première stratégie : d'avoir tourné le théâtre dans une affaire de marketing solide et bien gérée. Le SRT a doublé sa quantité de spectacles, a quadruplé sa taille de personnel et a mis la base pour le développement artistique et culturel de Singapour. En recrutant des acteurs et des directeurs de Broadway et de Londres, Charlotte Nors cherche maintenant à établir le nom du théâtre à l'échelle mondiale.

Opportune et Enzo

Jeudi 15 décembre 2011 à 11:23


Séances du jeudi...                                    Samedis et stage...

05 JANV     AMPHI 1                                    07 JANV  SAMEDI (n°1)
12 JANV     AMPHI 2
19 JANV     CDI 1 
26 JANV     AMPHI 3                                    28 JANV   SAMEDI (n°2)

02 FEVR     AMPHI 4
09 FEVR     AMPHI 5
16 FEVR     AMPHI 6
23 FEVR     CDI 2

15 MARS    CDI 3
22 MARS    AMPHI 7                                   24 MARS   SAMEDI (n°3)
29 MARS    AMPHI 8

05 AVR        CDI 4
12 AVR        STAGE                                    13, 14, 15, 16, 17 AVR    STAGE
19 AVR        AMPHI  9

10 MAI         AMPHI  10                                 12 MAI   SAMEDI (n°4)
17 MAI         REPRESENTATION               18, 19 MAI     REPRESENTATIONS
24 MAI         CDI 5
31 MAI         CDI 6

07 JUIN       CDI 7

Jeudi 15 décembre 2011 à 10:54

Ivan Hang
In order to understand our world, to effect change, to respond to issues with compassion and integrity; our society must be able to see beyond the limitations and inevitable biases of our own perspectives. We need to imagine other possibilities. We need a larger vision. We need Art, because the vision to see other possibilities is the gift art gives to society. And live performance gives art a connecting energy parallel to none.” - Fondateur  eet directeur artistique, Ivan Heng
http://giving.nus.edu.sg/images/uploads/image/Events_ivan-heng.jpg
Ivan Hang es un Singapourien important dans le théâtre du pays. Il est metteur en scène, comédien ? metteur en scène (bien qu’il soit aidé par Glen gei dans ces production) Ce qu’ Ivan Heng’s a produit a été joué dans plus de 20 pays dans le monde sous forme de festival. Comme exemple dans le festival International de Melbourne en nouvelle Zealand, ICA Festival International du diaporama Chinoise a Londres et Women on the Move en Belgique. 
Ivan a reçu un degré de loi de L’Université international de Singapour. De Ce Diplôme il est parti hor de singapour pour recevoir une education theatrale de tradition Asiatique et Occidental. Il a participer au Ballet et Compotary, comme un graduée de Singapore Dance art. Il a été dans la troupe Leling Peking Opera et dans Le Chinese Theatre Circle a Singapore. Il a aussi habité dans l’Academy Americain-Britanique du Theatre à Oxford. Ivan heng a aussi était un participant au London’s Royal Court Theatre 10th international Sumer Residency.
En 1990, Ivan a été le premier bénéficiaire du BAT Arts Scholarship to the Royal Scottish Academy of Music ET de theatre (Glasgow). Il a été diplômé comme meilleur eleve ce qui lui a permis d’obtenir un prix du Royal Lyceum Theatre et le Margaret Gordon Award pour sa performance d’acteur de Richard III. Il a reçu aussi le du  Dorothy Innes Prize.  En  1993,  il est allé à Londres pour jouer dans des films .Il est devenu  le fondateur de Tripitaka Compagny de théâtre a Londre. Apres avoir fait des tournée dans l’Europe,Ivan revient en 1998à Singapour pour être directeur artistique en créant sa propre compagnie : Wild Rice.
Ivan en 2009 a été le créateur directeur the Singapour National Day Parade en 2009. Sa vision moderne du théâtre a permis de donner une image fraiche de cet évènement national.
Ils a eu des projets pour Wild Rice ou il a dirigé ‘’The Swordfish’’, ensuite The Concubine, le  20eme Anniversaire de Beauty World, Happy Endings – Asian Boys Vol. 3, The Campaign to confer the Public Service Star on JBJ, Second Link, Oi! Sleeping Beauty!!, The Visit of the Tai Tai, Landmarks – Asian Boys Vol.2, Cinderel-lah!, Animal Farm, Ang Tau Mui, The Woman in A Tree on the Hill, An Occasional Orchid. Ivan a jouée aussi dans les productions de Importance of Being Earnest et Emily of Emerald Hill 
En 2006, Ivan Heng a fondé le Singapore Theatre Festival, pour promouvoir et développer Le théâtre Singapourien. Ce festival a changé de nom en OCBC Singapore Théâtre Festival ou en 2008 le festival etait dit comme par le Strait Times “the main évent in the world of the arts”.
Ivan Heng a reçus un prix excellence e du Edinburgh Fringe First, du Scottish Daily Express New Names ; D’Edinburgh Spirit of the Fringe en 1995 et le prix de Singapore Young Artist en 1996. Il a aussi reçus un prix de la part de Singapore Youth Award en 1998 et le prix de théâtre pour meilleur performance de metteur en scene par le ‘’the Straits Times Life!’’  En 2002
Il partage ses expériences en faisant des discutions et travaux. Ivan Hang a enseigner au Central School of Speech and Drama à Londres ; du Tramway à Glasgow ; à Intercult à Stockholm) a Kannonhallen dans la ville de Kuala Lumpur. 
 
Thibault Ribette

Mercredi 14 décembre 2011 à 8:42

http://theatrelfs.cowblog.fr/images/Capturedecran20111214a153901.png

Mardi 13 décembre 2011 à 14:48

Bonsoir !


Quelques informations pour que vous ne partiez pas en vacances sans penser au théâtre...


Les samedis de répétitions (de 9h00 à 22h00 mini.) :

7 janv.
28 Janv.
17 mars
12 mai


Le stage (avec Régis Maynard) :


jeudi 12 AVR. au mardi 17 AVR. (non-stop).
de 9h00 à 19h00.


La programmation à venir (Les pièces qu'il faudra avoir vues) :

Obligatoire.- SPRING AWAKENING de Frederik Wedekind
Production PANGDEMONIUM - mise en scène Tracie Pang
Drama Center, National Library
du 3 au 26 février 2012.

Obligatoire.- SINGAPORE de Haresh Sharma
Production The Necessary Stage - mise en scène Alvin Tan
Esplanade
du 15 au 19 février 2012.
M1 Fringe Festival

Facultatif.-
INRI
Production Cie ZEROGRAMMI (Italie)
Esplanade Theatre Studio
23-24 février 2012
M1 Fringe Festival

Facultatif.-
(Opéra) DON GIOVANNI de W.A. Mozart et L. Da Ponte
Production Singapore Lyric Opera
Esplanade
24-28 février 2012.

Obligatoire.- (Danse) GISELLE
Production Ballet de l'Opéra de Paris
Esplanade
19-21 janvier 2012.

Facultatif.-
CYRANO DE BERGERAC de Edmond Rostand
Production French Stage - mise en scène Sophie Bendel (théâtre semi-professionnel).
SIA Theatre, Lasalle College of the Arts.
février 2012.

A vos réservations...

... et n'oubliez pas, jeudi, dernier cours avant Noël... pensez aux papillottes !!!

Olivier Massis.


Jeudi 8 décembre 2011 à 12:32

  PANGDEMONiUM!

 PANGDEMONiUM! est une compagnie de théâtre singapourienne, créée par Tracie et Adrian Pang, les directeurs artistiques.
Au jour d’aujourd’hui, la compagnie n’a à son actif que deux pièces de théâtre et une comédie musicale : Closer et Dealer’s choice respectivement mises en scène et représentées en février-mars 2011 et septembre-octobre  2011; ainsi que Full Monty représentée en juin-juillet 2010. Elle a cependant le projet de monter une comédie musicale en février 2012, s’intitulant Spring Awakening.
Ces spectacles sont toujours représentés en langue Anglaise, mais sont néanmoins joués par des acteurs provenant de plusieurs parties du Monde.

 

 

Résumés des spectacles :

    Full Monty est une comédie musicale comique, portant sur les problèmes du chômage et de la nécessité de l’argent pour vivre.

    L'intrigue de Closer tourne autour de deux couples : Alice (une danseuse dans une boîte de nuit) et Dan (un écrivain), ainsi que Larry (un docteur) et Anna (une photographe).
Ces quatre personnages entretiennent des relations ambigües tout au long de la pièce, qui iront presque jusqu’à détruire leurs couples. En effet, Anna et Dan tombent amoureux, trompant ainsi Larry et Alice qui décident par la suite de se venger en faisant de même. Jalousie, trahison, séparation, pardon : cette pièce explore toutes les facettes de l’amour, une émotion qu’on peut juger, après cette pièce, difficile à cerner. Larry et Anna se rendront compte de leur erreur et finiront donc par retourner ensemble ; tandis qu’Alice et Dan se sépareront.

    Dealer’s Choice écrit par Patrick Marber et dirigé par Tracie Pang est une comédie qui retrace les addictions au jeu des six acteurs. L’histoire se déroule dans un restaurant à Londres qui transforme sa cave en salle de poker le soir. On découvre alors Stephen le directeur du restaurant animant le poker le soir, joueur addictif qui a entrainé son fils Carl pour pouvoir le voir au moins une fois par semaine. Ce dernier a de nombreuses dettes notamment envers Ash qui vit par le jeu et se joint à leurs parties amateurs pour récupérer l’argent qui lui est du. Deux autres joueurs compulsifs Sweeney, cuisinier au restaurant et Frankie, serveur sont des habitués de ces parties. Reste le personnage le plus étrange de cette pièce Mugsy,  qui rêve d’ouvrir un restaurant dans des grandes toilettes,  avec Carl et espère un jour, malgré sa tendance à toujours être perdant, gagner assez pour pouvoir réaliser son rêve.


http://theatrelfs.cowblog.fr/images/PANGDEMONIUM200px150x81.jpg




 Julie JOUSSE et Anaïs VASSALLO

 

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