theatrelfs

Mercredi 21 avril 2010 à 16:02

           


             Le Kathakali, théâtre classique originaire du Kerala, au Sud de l’Inde, est un théâtre dansé sacré tirant ses origines des danses populaires régionales : le Kalarippayat, et des spectacles rituels d’origine dravidienne : le Kutiyattam. L’un des aspects les plus intéressants de ce théâtre est l’élaboration des maquillages, costumes et l’ensemble de la gestuelle, qui constituent un code très précis. Ce code permet aux spectateurs de connaître les caractères des personnages et de comprendre l ‘histoire. Les danses quant à elles, sont accompagnées d’un orchestre composé de deux musiciens et deux chanteurs narrant l’intrigue, car les acteurs (exclusivement masculins) ne parlent qu’à travers la gestuelle des mains et du visage.

 

          Une centaine d’histoires classiques de kathakali, cependant seules les plus populaires d'entre elles sont jouées, ce qui réduit leur nombre au tiers. En voici une…

 

Kalyana souganghikam

 

          Bhima, fils du dieu du vent, se met à la recherche d’une rare fleur, sur Terre, la fleur Sougandhika (d’où le titre de l’histoire), afin de l’offrir à sa bien aimée : Panchali. Alors, il inspecte le magnifique bosquet de Kadali, et après n’avoir vu personne, Bhima décide de détruire le jardin afin d’y retrouver le gardien. Ainsi, ce dernier pourra lui indiquer l’endroit où cueillir la fleur et comment procéder.

           Au même moment, dans le même jardin, Hanuman, fils singe aîné du dieu du vent, et frère de Bhima, médite. Mais il perd vite sa concentration en entendant le bruit monumental de cette destruction. Il s’interroge… Puis il reconnaît Bhima, son frère. Et pour restreindre la réussite de son frère dans sa quête, il se met en travers de son passage. Mais Bhima ne s’énerve pas, et attend.

       Plus tard, le singe cède, et après avoir annoncé à Bhima qu’il était son frère, il lui donne sa bénédiction et l’aide finalement à trouver la fleur Sougandhika.

 

http://theatrelfs.cowblog.fr/images/kathabhimaetpanchali.jpg

De gauche à droite : Bhima, et sa femme Panchali.



         ==> On peut trouver d’autres histoires telles que  le Keechakavadham (une autre histoire de Bhima et Draupadi, cette fois-ci travaillant déguisés), le Kiratham (le combat de Arjuna et de la déesse Shiva, dans le Mahâbhârata), le Karnashapatham (le Mahâbhârata).

 [J’apporterai plus tard des précisions sur ces autres histoires…]

 

       Dans la plupart des cas, une scène d’amour introduit l’intrigue (dans le cas du Kalyana souganghikam, Panchali demande amoureusement à Bhima de lui rapporter la fleur). On retrouve par ailleurs les mêmes thèmes majeurs : conflits, rivalités et combats, relations amoureuses, le tout, à l’image du monde des mortels.

  

          

Aujourd’hui, de nouvelles histoires ont été créées en s’inspirant de thèmes religieux (aussi bien de l’indouisme, bouddhisme, et du christianisme), de grands auteurs (Shakespeare, ou de thèmes d’actualité (Gandhi, la guerre du Japon, même Hitler…)



Clara.a

 

 

 

 

Jeudi 15 avril 2010 à 12:28

 

Théâtre et Religion chez les Grecs :

http://www.mediterranees.net/civilisation/religions/dionysos/images/dionysos.jpg

Le théâtre grec a une origine religieuse : le culte de Dionysos, le dieu du vin, des arts et de la fertilité. Des cérémonies avaient lieu trois fois par ans, elles s’appelaient les dionysies.Les trois principaux festivals de théâtre étaient les dionysies champêtres, de décembre a janvier, les Lénéennes, de janvier a février , et enfin les grandes dionysies. Les dionysies champêtres étaient organisées dans les dèmes de l’attique : les dèmes pauvres se contentaient d’un cortège, les plus riches mettaient sur pieds des concours tragiques ou comiques.Les Lénéennes étaient purement athéniennes et beaucoup moins panhelléniques que les grandes dionysies et ne comportaient pas de concours de dithyrambe.Enfin, les grandes dionysies avaient lieu a Athènes, duraient cinq jours de suite du lever au coucher du soleil a raison d'un auteur par jour, ceux qui y assistaient entièrement pouvaient entendre plus de vingt mille vers sans compter les dithyrambes. Elles commençaient par une procession, suivie d'un sacrifice et d'un banquet. Un concours de dithyrambes, poésies chantées et dansées en l'honneur de dieu, précédait les concours dramatiques proprement dits. Après un nouveau sacrifice, au théâtre cette fois, on tirait au sort les juges qui, a raison d'un par tribu, auraient a se prononcer a l'issue des quatre jours de représentation : trois pour la tragédie et un pour la comédie. Chaque poète tragique présente une tétralogie, c'est-à-dire trois tragédies (en principe sur le même sujet : ainsi l'Orestie d'Eschyle, seule trilogie qui nous soit parvenue, comprend l'"Agamemnon", "les Choèphores" et "les Euménides") et un drame satyrique. Pour les comédies, cinq poètes présentaient chacun une pièce ; les spectateurs assistaient donc à quinze, voire à dix-sept pièces en quatre jours. Une tragédie comporte : un prologue, l'arrivée du choeur (parodos), des épisodes (ou actes) séparés par des chants du choeur (stasima) et un acte final avec sortie du choeur (exodos) ; au total, le plus souvent, cinq "actes" qui sont à l'origine des divisions des tragédies françaises. La comédie d'Aristophane offre à peu près les mêmes divisions, mais comporte en plus une parabase où le choeur, en "civil", interpelle le public au nom du poète (Aristophane, Acharniens). Avant la représentation, la troupe défile devant le public ; la statue de Dionysos est tirée de son temple et placée sur le théâtre ; enfin arrive un héraut proclamant le nom du poète. La représentation commence très tôt le matin, peu après le lever du jour. On s'y rend la tête couronnée comme pour une cérémonie religieuse ; chaque spectateur reçoit à l'entrée un jeton portant une lettre de l'alphabet désignant la section des gradins où se trouve sa place (chaque tribu a sa section). Le prix d'entrée est très modique (deux oboles = quelques francs) et permet d'assister à toutes les représentations de la journée, soit, avant le coucher du soleil, quatre ou cinq pièces, chacune jouée sans entracte. A la fin du concours, dix juges tirés au sort votent ; sur leurs dix votes, on en tire au sort cinq qui constituent le jugement définitif....pas toujours accepté du public d'ailleurs (Platon, les Lois). Trois prix sont décernés dans chaque catégorie, tragique et comique : au poète, au chorège et au protagoniste. Les vainqueurs reçoivent une couronne de lierre et dédient à Dionysos un ex-voto ; il en subsiste un à Athènes : le monument de Lysicrate. Le gagnant, auteur ayant écrit la meilleure pièce était récompensé par un bélier.Le théâtre grec a pour origine le culte de Dionysos, dieu de la fertilité et du vin. Des dithyrambes, processions, danses, chants, et paroles en vers a la gloire des héros grecs, avaient lieu autour de son temple sur l'agora dans la région de Corinthe. Lentement, un lieu spécifique s'intègre au temple pour les représentations théâtrales. La tradition raconte que Thespis, auteur du VI e siecle av. JC, qui se produisait près d'Icaria, révolutionna le dithyrambe : il introduit le premier acteur, le protagoniste. Pendant que le cœur chantait, l'acteur intercale des vers parlés. Le protagoniste joue tous les rôles : c'est la forme primitive du théâtre. Eschyle introduit le deutéragoniste (2eme acteur) et Sophocle le tritagoniste (3eme acteur). Cette forme de théâtre connut un développement très rapide. En effet, dès 538 av. JC, Prisistrate organisa le premier concours athéniens de tragédies. Au temps du développement de la philosophie et de la démocratie, le théâtre devient sujet a des interrogations politiques.
Mais on célébrait toujours Dionysos au temple, et son culte restait aussi toujours présent au théâtre. Non seulement le théâtre contait les mythes et les fables et se déroulait pendent les dionysies et les Lénéennes,mais en plus, le théâtre était instauré de manière a communiquer avec les dieux.


 

Jeudi 15 avril 2010 à 12:20

 
-         Quelle place a-t-il au sein de la société, quand, pourquoi ?!
 
Le théâtre Japonais apparaît au 15e Siècle grâce au épopée qui fut leur source d’inspiration, mais il était déjà présent à partir du 10e Siècle.
Le théâtre est une sorte de bénédiction pour le peuple japonais, effectivement grâce au théâtre qui serrais à la base servis pour les Dieux, ferait sortir la Déesse du soleil « Amaterasu ». Le théâtre est donc, même si il n’a pas une place de premier rang, d’ordre important au sein de la société japonaise, qui suivent les croyances des anciens.
 
On retrouve le théâtre souvent sous quatre formes différentes, ainsi :
·      Le théâtre Nô. Il date du XIVème Siècle et c’est du drame lyrique.
·      Le théâtre Kyôgen. Il date également du XIVème Siècle et c’est du théâtre Nô, mais sous la forme comique.
·      Le théâtre Bunraku. Il date du XVIIème Siècle et c’est du théâtre de marionettes.
·      Le théâtre Kabuki. Il date également du XVIIème Siècle et c’est le l’opéra comique.
 
 
 
-         Religion ?!
 
Effectivement le théâtre japonais touche à la religion, étant donnée que les spectacles sont des offrandes aux Dieux.
Selon une légende japonaise, les japonais craignaient le sombre, les nuages et lorsque tout se couvrait, cela voulait dire un mauvais présage arrivé. Ils décidèrent de trouver des solutions. Ainsi, les théâtres seraient joués pour faire sortir « Amaterasu », la déesse du soleil, de la grotte dans laquelle celle-ci se cache. Lorsque les japonais se sont mis à faire du théâtre, donc toutes sortes de chants et de danses ; la déesse fit un pas en dehors de sa cachette et découvrit à sa grande surprise plusieurs autres Dieux, qui étaient en train de faire la fête. Tous dansaient et chantaient, ainsi elle les rejoignit pour s’amuser. De ce fait le japon fut illuminé car Amaterasu, en sortant de sa grotte leur avait apporté lumière et ainsi sérénité.
Depuis ce jour les japonais qui désirs le soleil, jouent du théâtre, de manière à ce que la déesse du soleil sorte de sa grotte pour s’en aller se distraire et leur apporter au passage la lumière. On dit que grâce au théâtre que le monde n’est plus plongé dans le noir des « ténèbres », dont il sont effrayés.
 
 
 
-         Divertissement ?!
 
A la base, le théâtre, qui était appelée « danses des signes », était interprétée dans la rue, un peu à la volée et le but était de divertir les passants et les voyeurs. Mais au fil du temps ce théâtre des rues sympathique devins dramatique et est plus porter pour la classe noble. Par la suite que le théâtre Nô fut inventé et créer par « Maître Zeami ». Mais il demeures toujours des pièces comiques mais qui n’est pas tournés pour le même public.
 
 
Comme avant ceux qui représentait les personnes noirs était des blancs mais enduit de couleurs noir pour la vraisemblance ; le théâtre japonais qui n’acceptait pas les femmes sur scène, envoyait à la place des petits jeunots.
 
 
 
Tradition du Nô :
 
Le No est un genre au théâtre japonais.
 
         Le théâtre Nô a été inventé et fondé par un père et son fil, Kanami (1333-1384)  et Zeami (1363-1443),, au alentour du demi-Siècle du XIVème. C’est Shôgun Ashikaga Yoshimitsu, qui leur demanda de créer ce genre.
C’est de l’art théâtrale qui est tourné vers le dramatique. Les danses et déplacements très lent et une musique plutôt aiguë, voir stridente ; fait avec des instruments du japon. Les chants sont simples, mais plutôt grave, articulé et lent. Le tout est de donnée une allure dramatique à la pièce de théâtre.
 
Ce genre de théâtre vise les classes noble, c’est l’aristocratie qui est visée. Effectivement le Nô est composé de plusieurs centaines de pièces ( environ 250 ).
D’un point de vue religieux, c’est un genre qui est inspiré du bouddhisme.
 
Les pièces sont jouées modestement et en pleine air. Un premier acteur vient sur scène pour installer le décors et situé l’action dans le temps et raconter un peu se qui est en train de se passer, cette homme s’appelle un waki. C’est lui qui entonne le premier chant. L’acteur principales soit un shite, arrive une fois le décors posé et l’intrigue expliqué. Il porte un masque, change de vêtements souvent marche et parle très lentement. Après le chœur doit répéter pour les spectateurs d’une manière plus intelligible ce que viens de dire le shite. Toutes les danses et déplacements sont extrêmement lents. Le Nô est composé de cinq actes, il dure donc assez longtemps ; c’est pour cela que trois pauses font fait durant la pièce. Pour indiqué que l’on change d’actes, l’acteur principale tape du pied sur le sol.
Si le Nô n’est pas joué dans la rue, il est alors joué sur une estrade protégé. Tout cela toujours modestement. Le décors reste également simple. Les musiciens sont quatre et sont situés au fond de la scène, le chœur lui est placé à droite.
De nos jours, le Nô est toujours représenté aux japons et toujours apprécié de ses habitants. Ainsi des pièces sont souvent joués et des endroits spécifiquement pour eux, ont été construit.
De plus des écoles ont été créer pour faire continuer cette tradition japonaise, parmi les jeunes qui désir apprendre cet art.

http://theatrelfs.cowblog.fr/images/No.jpgClaire GOLDBLUM

Jeudi 15 avril 2010 à 12:19

Acteurs et rôles :

 

Dès le début de ses études, l’acteur doit choisir quel type d’acteur il veut être jusqu’à la fin de sa carrière. Il existe quatre différentes catégories de types d’artistes dans le théâtre Nô qui elles-mêmes sont divisées en plusieurs rôles. Les deux types d’acteurs les plus importants sont le shite, qui fait partie de la catégorie des shitekata et qui est le personnage principal, et le waki qui est le secondaire, faisant partie de la catégorie des acteurs wakikata. D’ailleurs, toutes les écoles d’acteurs sont spécialisées dans une sorte d’artistes. Il y a par exemple les écoles Kanzé, Kita et Konparu pour les shitekata, celles de Takayasu, Fukuô et Hôshô pour les wakikata, celles de Ôkura et Izumi pour les kyôgenkata et enfin, celles d’Issô, , Kadono et Komparu pour les hayashikata (les musiciens).

Le personnage principal, le protagoniste appelé le Shite, peut interpréter toutes sortes de rôles : un dieu, une femme, un vieillard, un enfant etc. Sa nature est ainsi évoquée grâce à son costume ou à son masque. Le Shite est d’ailleurs le seul a porté un  masque ce qui consiste à ce que l’attention du public soit plus focalisée sur lui que sur les autres personnages. En plus de cela, il est toujours accompagné du personnage Waki qui l’incite à danser pour ensuite, aller au coin de la scène et laisser au public le plaisir de contempler le personnage principal. Ainsi, contrairement au Shite qui est appelé « celui qui fait » et « celui qui agit », le Waki n’est que « celui du côté ».

Ce dernier, qui est un rôle secondaire, est toujours représenté par un homme politique (le daijin-waki), soit par un homme religieux (le sô-waki) ou soit par un homme ordinaire (le otoko-waki). Ainsi, comme il l’a été dit précédemment, le Waki a pour objectif principal de donner au Shite une bonne raison pour danser.

             Il faut notamment savoir que dans le théâtre Nô, les musiciens sont des personnages. En effet, il font partie de la catégorie des hayashikata et portent chacun un nom selon leur instrument. Il y a donc le nô-kan qui joue de la flûte, le kotsuzumi qui utilise le tambour d’épaule, le ôtsuzumi pour le tambour de hanche et enfin, le taiko qui joue du tambour à battes.

Costumes :

Les costumes  du théâtre Nô sont appelés shozoku et sont à la base, des vêtements de cérémonies des nobles et des samouraïs du XIV – XVIe siècle............. PAS FINI


 

Jeudi 15 avril 2010 à 12:07

C’est au –V siècle avant J.C que les premiers théâtres grecs sont apparues.

Le théâtre grec avait son orchestra (ou orkhêstra) en forme de cercle (avec parfois un autel sacrificiel au centre), la était place le chœur et le choeurifé. La scène où jouaient les acteurs était petite et étroite et se trouvait derrière l’orchestra. Elle était élevée de un ou deux mètres du sol. Les gradins étaient une portion de cône (environ 240˚) placé autour de l’orchestra et pouvait avoir environ vingt mille spectateurs.

Les grecs construisaient leur théâtre avec des pierres et creusaient dans les collines, qui permettaient de facilité le travail. Ce sont les grecs qui étaient les premier a construire leur théâtre en aval (de environ 30˚) pour que le son étaient bien amplifié jusqu’au dernier range.

Chez les grecs, aller au pièce de théâtre était obligatoire, les représentations étaient pour des question de religion ou de propagande. Mais les places étaient payée par la cité et elles étaient toutes égales. Avant chaque représentation, un jeton avec le numéro de la place inscrit dessus était distribué a chaque spectateur.

Julie J.

Jeudi 15 avril 2010 à 12:07

Le comédien grec
 
I)                   Le comédien en lui même
 
Dans le théâtre grec, il n’y a jamais plus de trois acteurs quelque soit le nombre de personnages. Tous sont de sexe masculin même pour les rôles féminins. Au début de l’apogée d’Athènes, soit vers fin du VIième siècle avant J-C, l’auteur est le seul comédien et incarne tous les rôles en changeant de robes et de masque. Il est donc important que les masques qui définissent les personnages soient différents afin que le publique puisse bien les distinguer. Au Veme siècle avant J-C, Eschyle invente le second acteur. Quelques années plus tard, Sophocle crée le troisième acteur. C’est alors que les notions de protagonistes (premier acteur), deutéragoniste (deuxième acteur) et tritagoniste (troisième acteur) sont mises en place.
 
II)                 Les costumes
 
Il est dans la coutume que les acteurs soient en longues robes. Les décorations qui se trouvent sur les robes, traduisent la personnalité et les humeurs du personnage. C’est le seul moyen pour le publique de connaître les caractères des personnages car les acteurs portent tous un masque. La démarche des acteurs est plutôt lente et saccadée. Cela est en parti du au fait qu’ils portent des énormes semelles lacé que l’on appelle corthunes, qui donnent une certaines difficulté à l’acteur pour marcher. Les acteurs se déplacent au son des instruments tels qu’une flûte ou des percussions. De plus, les comédiens ne chantent pas leur texte, ils le récitent sur une unique note. Le texte était souvent religieux.
 
III)              Les masques
 
Les masques du théâtre grec sont portés par toute la troupe. A l’origine, les masques ne devaient couvrir que le visage. Petit à petit, ils ont couvert toute la tête afin de pouvoir y fixer une perruque. Les masques servent à plusieurs choses. Tout d’abord, ils servaient d’amplificateur de voix. En effet, comme l’audience était gigantesque, les masques permettaient que l’acteur soit entendu de tout le publique. Ensuite, les masques étaient, comme les costumes, un procédé de caractérisation du personnage. Même si les acteurs n’étaient que trois, les personnages étaient plus nombreux. Ainsi les traits de chaque masque étaient grossis pour qu’il puisse représenter un personnage et son statut (le roi, un esclave, vieillard…) ou ses émotions (haine, joie, colère, pitié). De plus, il faut savoir que les masques fait pour la tragédie sont différents de masques comiques. Pour la tragédie, les masques évoquent douleur et pitié, et sont réalistes. Pour la comédie, ils évoquent du rire et sont souvent une caricature d’une personne connue des spectateurs. A la fin de l’apogée d’Athènes, on fait l’inventaire de tous les différents types de masques existant. On trouve 44 modèles comiques et 28 modèles tragiques.
 
                                                                                                                                                                          Auxane Le Bris

Mercredi 14 avril 2010 à 17:42


Les 2 plus grands auteurs de l'époque romaine

PLAUTE:

C'est le premier auteur de comédies romaines. Il est né au Nord de Rome dans une ville qui porte le nom de Ariminium en 251 probablement. Avant de devenir Plaute, on le nomme Titus.

Son histoire débute lorsqu'il est recruté par les Romains à Rome, il devient soldat et c'est grâce au triomphe de son général qu'il défile dans les rues de la capitale. Il devient un citoyen romain mais connait une période de chomeur avant de s'engager dans une troupe d'exodium. Il est dans la troupe un maccus ( un pitre souffre-douleur) et tient son nom "Plautus" de cet experience. Ce surnom donné par le public, signifie celui qui marche à plat. Plaute commence tout juste à se lancer dans la carrière d'acteur lorsque celle-ci est ébranlé par une guerre Pudique qui envahit Rome. Desormais, le theatre est censuré ce qui lui empeche de poursuivre son rêve. Avant de se lancer à la recherche d'un travail, il définit son nom une fois pour toute et on le nomme Titus Maccus Plautus. Il est embauché dans une boulangerie jusqu'à ce que la paix soit instauré. Pendant cette periode d'invasion, même si le théâtre est censuré des écoles de comédiens existent déjà. Plaute tente de pouvoir s'y inscrire mais n'a finalement guère les moyens de suivre de tels cours. 

Il renonce à être un acteur quand il se rend compte que ce n'est pas pour lui et à la place il se fait "auteur de comédies". Il consacre son temps à écrire des pièces et en fait son métier. La chance est avec lui, ces pièces sont un succès auprès du public et il devient à présent un citoyen romain aisé. Plaute va écrire un peu plus de 140 pièces au court de sa vie mais uniquement une vingtaine ont été entierement récupérés aujourd'hui. Plaute réussi à amuser et à attirer le plublic grâce au chant et à la danse qu'il intègre dans ces représentations. De plus, un des atouts parmis tant qui a permis à Plaute de connaitre un grand succès sont les nombreuses allitérations qu'il ajoute. Elles sont très belle et accroche le spectateur immédiatement.

Ces pièces les plus connues sont Amphitryon (-214) ainsi que Casina. Il rédige une pièce du nom de Aulularia qui d'après des ressources signifie la marmite et serait l'ancêtre de la pièce L'avare de Molière.


TÉRENCE:

Contrairement à Plaute, Térence est né à Carthage. Depuis son plus jeune âge, il est emmené à Rome oú il devient esclave. A 16 ans, il est un esclave affranchi. C'est son maitre qui lui aura fait connaitre l'apprentissage des langues. Térence prend un grand plaisir dans la littérature et d'ailleurs il fera parti du clan littéraire de la riche famille des Scipion.

Ce dernier ne connaitra jamais la citoyenneté romaine, il n'écrira jamais pour vivre à la différence de Plaute. Il se fait ennemi de la truculence et des personnages types avec un reglement. Vraisemblablement, il ne vivra pas le même succès qu'a eu Plaute mais il se fait admiré de Cicéron et par la suite de Horace et Boileau. De plus, à la difference de Plaute, Térence a une préférence pour les textes sans chant. On dit de lui qu'il est le maitre des comédies calmes (du latin : Stataria)

Térence connait une vie très courte et meurt à l'âge de 26 ans. Il n'aura écrit que 6 pièces au cours de sa vie, dont:
L'Andrienne rédigé en -166 ainsi que L'Hecryre en -165.


Josephine Masson

Jeudi 8 avril 2010 à 10:31

Avant toute chose, ce jeudi 18 mars a été une séance particulière: le MUN a monopolisé sept personnes qui n'ont pas pu participer à la séance. Comme chaque semaine depuis un mois, nous avons passé la première heure au CDI, Mr Massis a pris certains en tête à tête pour faire un point. L'heure au CDI terminée, comme le MUN se déroulait entre autre à l'amphi, Mr Massis nous a laissé une demi-heure de libre qui est vite passée. Tous les présents se sont ensuite retrouvés devant la scène, nous avons commençé par un échauffement du corps suivi par des exercices de la voix. Nous avons terminé par le jeu "PAN". Mr Massis et Sophie nous ont divisé en différentes activités: Emilien et Romain ont travaillé le début de la scène "ÇA S'ANNONCE",  Mélanie, Margot et moi avons travaillé la scène: "NOSTALGIE", les autres ont fait une italienne. Ça a été une petite séance vis-à-vis des précédantes, mais nous avons néanmoins bien avancé sur "ÇA S'ANNONCE" et "NOSTALGIE".             

Camille             

Jeudi 8 avril 2010 à 10:26

Les Grecs apprécient le théâtre car ils leur permet d’avoir l’occasion de critiquer leur gouvernements. Ils l’appréciaient aussi car il était gratuit à tous et personne n’était exclus. Tout le ,onde était le bien venu et chacun avait le droit de juger. De plus le public avait le droit de jeté des fruits ou des légumes, s’ils exigeaient que les acteurs ou que la pièce était mauvaise. De même, les riches offraient des place aux plus pauvres. Les Grecs aimaient les distractions causées par les dialogue du théâtre, ainsi que l’émotion causées par les tragédies et de l’amusement des comédies. Le public bne loupait pour rien au monde une représentation théâtrale.


Thieblemont gaspard

Jeudi 8 avril 2010 à 10:23

 LE CHŒUR AU THĖATRE GREC


            Le mot chœur vient du grec ' khoros ', qui veut dire danse.
 
            Au théâtre grec, le chœur était placé sur l’orchestra, un cercle de terre battue qui séparait la scène des spectateurs. À cet endroit était aussi placé les danseurs, les musiciens, les chanteurs et un autel de sacrifice. Ce chœur composé de quinze hommes appelés choreutes exécutait des chants au son d’un instrument (cithare ou pendant l’époque classique, hautbois).
 
            Les choreutes, contrairement aux acteurs, étaient à visages nus. Le chœur était dirigé par un chef qu'on appelle coryphée; ce dernier guidait les choreutes et dialoguait parfois avec les personnages de la pièce.
 
            Contrairement aux chanteurs qui ne faisaient qu’accompagner les musiciens par des chants, les choreutes ajoutaient à leurs chants des évolutions chorégraphiques. La danse théâtrale consistait en une marche rythmée avec gesticulations et des attitudes corporelles fortes (exagération des mouvements et des attitudes). Cette dernière était choisie par l’auteur de la pièce lui-même. Les danses s’exécutaient avec tout le corps sauf les pieds. Le chorège est un riche citoyen qui recrute et équipe les chœurs.
 
            Les choreutes présentent le contexte et résume les situations pour aider le public à suivre les évènements, font des commentaires sur les thèmes principaux de la pièce et montrent comment un public idéal est supposé réagir à la représentation. Souvent, le chœur reprenait même les personnages de la pièce. Le chœur s’exprime généralement par le chant, mais aussi parfois en langage parlé.
 
            Le chœur intervenait principalement en tragédie, mais aussi dans les comédies ou dans les drames satiriques. Dans les drames, les choreutes ne faisaient que commenter l'action et exprimer le sentiment des spectateurs. Les chœurs tragiques sont composés de douze puis quinze choreutes, et les chœurs comiques de vingt-quatre.
 
            Aussi, pour passer d’un acte à un autre, les Grecs utilisent le chœur plutôt que des rideaux. Pendant chaque interlude, le chœur et les musiciens offraient aux spectateurs des chorégraphies chantantes.
 
            Les chœurs ont peu à peu disparu à partir du IVeme siècle, à cause du perfectionnement de la musique qui exigeait le recours de professionnels. Cette disparition a sûrement contribué à celle de la tragédie, qui ne nous a transmis aucune œuvre complète depuis Euripide.
 
 
 
Emilien B.
 

 


 

Jeudi 8 avril 2010 à 10:22

Les pantomimes

La pantomime est un spectacle d'origine Sicilienne typiquement Romain. Souvent à tonalité tragique il comporte un acteur ou actrice mais uniquement dans le pantomime latin.

C'est une pièce de théâtre basée sur le mime et donc muette. Sur scène il y a donc seulement un acteur qui incarne tous les personnages. Celui-ci peut être accompagné d'un groupe de danseurs et d'un petit orchestre. L'acteur revêt un simple costume de soie (que l'actrice dans le pantomime latin retire a la fin du spectacle) et porte un masque aux lèvres fermées. Le spectacle a souvent des thèmes grossier et irrespectueux. C'est d'ailleurs pourquoi, la pantomime est souvent appelée animation de barbare car tout le monde peut la comprendre grâce a la absence de parole. Souvent les acteurs sont des anciens aristocrates ou vedettes qui, ne possédant plus de pouvoir politique, préfèrent la gloire au statut social. Les représentions sont soit privées soit publiques ce qui élargit l'auditoire.

Jeudi 8 avril 2010 à 9:52

 

Le comédien et les costumes


 

Masques et perruques


 

Les masques étaient principalement utilisés pour amplifier la voix et les traits sont exagérés pour être vus de loin

Les perruques jouaient également un rôle très important dans la différenciation des personnages, car elles correspondaient à la fois à l’âge mais aussi à la situation sociale du personnage

    • les hommes libres âgés: perruque blanche

    • les fils de familles aisées: blonde

    • les esclaves: rousses


 

Les costumes

Les costumes permettent l'identification du personnage: la physionomie, la robe et ses motifs.

    • les antagonistes: grands et maigres

    • les protagonistes: petits et ronds

Les chaussures -les cothurnes- sont différentes selon s'il s'agit d'une tragédie ou d'une comédie ( hautes pour la tragédie ).

 

Le jeu de l'acteur

Il existait différents types de jeux

La chironomie correspondait au jeu des mains basé sur le raffinement de l’expression des doigt il existait quatorze positions pour des sens différentiels

L'orchestique correspondait au jeu du corps qui était caractérisé par l' enroulement et le déroulement des corps


 

Les expressions du visages étaient très importantes, par exemple, les sourcils en accent circonflexe signifiaient la malveillance

Chloe D
 

Jeudi 8 avril 2010 à 9:52

 

Le public romain est composé des citoyens des villes en questions. LES citoyens romains aiment les distractions et aient s’amuser. C’est pourquoi ils aiment le théâtre. Les citoyens sont fier d’être romains et sont fier des accomplissements de leurs cités. Au début Rome aimait les spectacles fastueux. Elle aime se réjouire du triomphe des ses généraux. Elle apprécie voir ses soldats défiler dans la rue avec des esclaves enchaînés. LES SPECTACLES SE DEROULAIENT DANS LA RUE. Rome est plus matérialisée, moins fantaisie, moins imaginative qu’Athènes. LA GRECE EST SON MODELE.

Mais plus le temps passe te plus les goûts deviennent ocrent. Les romains deviennent fainéants et incultes et ne se mettent qu’a aimer les combats de gladiateurs.


Article de Gaspard Thieblemont

Jeudi 8 avril 2010 à 9:51

 Les décors romains

Suite a l’explication de l’architecture des théâtres romains, nous allons parler des décors. Le mur de scène romain prend différentes tournures qui dépendent du sous genre joué. Lors d’une pièce tragique, on trouve des colonnes, un fronton et d’imposantes statues. Le tout étant sensé représenter un palais royal. Pour une pièce comique, le mur de scène était composé de maisons à balcons et fenêtres, maisons traditionnelles romaines. L’impression de réalisme de la vie de tous les jours permet aux spectateur de plus ou moins s’identifier aux personnages de la pièce jouée. Enfin lors d’une pièce satyrique, le décors est fait de cavernes, bocages et montagnes. Ces éléments provenant de paysages peints, ils présentent un effet de surréalisme : la satyre ne dois qu’appartenir au théâtre.

Le mur de scène avant deux fonctions. Plus il était complexe, plus la fortune du donataire pour cette pièce était mis en valeur. De plus, ce mur doit créer l’illusion parfaite et encore une fois, plus l’illusion est bien, plus le donataire est reconnu.

Jeudi 8 avril 2010 à 9:51

Le théâtre dans l’Antiquité
Les différent genre et registres des pièces grecques:
1.       Le Drame satyrique
Les drames satyriques étaient, a l’origine, de courtes prestations au début de spectacles, puis il prit, en parti grâce a la demande des spectateurs, une réelle forme de « drame satyrique », qui succéda à la trilogie tragique.
Le Cyclope d’Euripide, ou l’on voit Ulysse ridiculisé, confronté a un monstre et a un bouffon, est un exemple de drame satyrique. Le personnage vedette des drames satyriques est Prothée.
Dans le cœur, il y a 15 satyres : hommes et boucs, qui marchent sur leurs mains et dansent. Les sujets de drames satyriques sont souvent en accord avec les tragédies qui les précédent.
2.       La tragédie
 
-          Il n’y a aucune scène d’amour dans les tragédies grecques
-          Le destin « fatum » écrase le héros tragique. La fatalité porte le même nom que l’erreur : « l’até ».
-          Cependant, on remarque que l’élan euphorique des autres genres de pièces de théâtre subsiste toujours.
-          La tragédie mène à la catharsis, soit la purgation des sentiments du spectateur : il voit le héros dans une situation extraordinaire, qui est souvent « puni » au dénouement, et ne veut pas faire pareil.
-          Les tragédies occupaient une grande place dans les Dionysies, concours de poésie grecque qui avaient lieu tous les ans durant une semaine.
-          Eschyle est le premier a instaurer un second acteur, ce qui installe un dialogue entre deux personnages. De plus, il place le décor et les costumes.
-          Les récits font référence a la mythologie et l’histoire antique, avec lesquelles les poètes prennent leurs liberté
 
3.       La comédie
 
-          Les comédiens ont de grosses lèvres et bedaines, ainsi que de gros derrières et d’imposants nez.
-          La comédie grecque suit la même structure que la tragédie : on a 24 choristes, plus un coryphée, qui rentre après le prologue.
-          Aristophane, au Vème siècle avant Jésus-Christ, mêle grossièreté et poésie, critique la société de son temps et célèbre paix et sagesse. Il est l’auteur de Les guêpes, l’Assemblée des femmes et Lysistrata.
-          Ménandre, IVème siècle avant Jésus-Christ : la comédien devient obscène, sans attaques personnelles, ni allusions a la politique. Il supprime le chœur et crée des personnages comme des vieillards, courtisanes, esclaves, marins…
-          La comédie antique cherche tout d’abord a provoquer le rire et use de plusieurs artifices jeux de mots, déguisements outranciers.
- Ces pièces sont bâties autour d’une situation familiale associant amour, argent et quiproquos, et de types sociaux caricaturés et faciles à identifier : le père avare, labelle-mère acariâtre, etc.

Axelle LDA

Mardi 6 avril 2010 à 12:58

 

La naissance du théâtre romain

Le théâtre romain semble débuter par de grandes processions religieuses avec des danseurs et des mimes. Cette première représentation théâtrale avait pour but d’apaiser la colère des dieux suite à une épidémie particulièrement virulente, en 364. Des prières mimées aux dieux étaient accompagnées de danse et de musique.

Ce lien avec la religion disparait ensuite peu à peu et le gout pour le « spectaculaire » se développe chez les romains. Les cérémonies, processions triomphales ou funéraires  en deviennent de véritables spectacles.

Plus tard, encore sous l’influence grecque, des pièces sont jouées sur une scène. Des poètes adaptent des tragédies et des comédies hellénistiques (de la période de la civilisation grecque) tout en conservant des caractères latins comme par exemple des personnages typés (Marcus l’imbécile, Possenus le bossu, Pappus le vieux barbon, …). Lors de cette recrudescence du genre théâtral, on voit apparaitre dans toute l’Italie des acteurs ambulants qui donnent des spectacles sur des tréteaux provisoire, devant un public debout.

 

 

Théâtre romain et mise en scène

Le gout du public pour le sensationnel engendre des mises en scène somptueuses et extravagantes. Le mur de scène, décor principal fixe, est lourdement décoré dans le but de plaire aux romains mais aussi de montrer la générosité du donataire des jeux. Cette multitude d’artifices montre bien  que la mise en scène est bien moins codifiée que dans l’antiquité grecque.

Les romains innovent particulièrement dans la technique et la machinerie. Ils reprennent et développent les techniques mises au point par les grecs comme les grues (pour faire descendre des dieux du ciel) et les trappes (faire monter des fantômes du monde des morts). Ils créent aussi des trucages ou des décors à doubles face.

Le rôle de la musique est essentiel dans le théâtre romain. Dans la comédie, le ton est choisi en fonction du rôle joue et le représente. Par exemple, les tons graves caractérisent les vieux personnages tandis que l’aigu représente la jeunesse. Ainsi, une dialogue entre un père et un fils est souligne par une alternance de grave et d’aigu.



Julia Pflimlin

Dimanche 4 avril 2010 à 11:51

http://theatrelfs.cowblog.fr/images/tempestpdp.jpgThe Tempest de William Shakespear est joue a l'esplanade du 2 au 10 Avril. C'est une tres belle piece que je recommande vivement ! 

Cette piece est l'histoire d'un pere, Prospero et d'une fille Miranda coinces sur une ile depuis 13 ans. Prospero a des pouvoirs surnaturels qu'il a appri a travers les livres que lui ont laisses les autres naufrages alors morts. Il a sauve un esprit emprisonne dans un arbre, Ariel. Celui-ci l'aidera tout a long de la piece. La piece debute par le naufrage d'un bateau. Comme toute piece de Shakespear, l'intrigue est complexe. De plus, la barriere de la langue de Shakespear complique la comprehension de la piece. A aller voir en ayant une vision claire du developement de la piece !! 
Le decor est tres simple. Il y a un rond de sable au milieu de la scene. Cela represente d'apres ce que j'ai compris la limite des naufrages. En effet Prospero, sa fille et l'esprit jouent sur tout l'espace de la scene. Tous les acteurs sont presents sur scene, assis au fond. Ils interviennent sous l'ordre d' Ariel qui agite une sorte d'instrument.
Malgres que la piece date du XVIe siecle, la mise en scene de Sam Mendes est je trouve assez moderne. En effet on remarque lors du marriage de la fille Miranda et d'un des naufrage, Ferdinand que le mur de scene se transforme en cinema geant ou apparait une video de la vie de Miranda.
Le jeu des acteurs est tres fort. Ariel par exemple l'esprit de Prospero garde toujours un air moqueur et dominant face aux naufrages qui ne le voient pas. De plus, lors de la rencontre entre Miranda et Ferdinand on remarque vraiment la passion dans leurs regards.
Malgres la difficulte d'introduire des esprit dans la piece, je trouve que cela a tres bien ete entrepris par Sam Mendes. En effet, lorsque Ariel intervient. la lumiere devient bleue et le reste des personnage est immobile. De plus, meme lors de dialogue entre d'autres personnages, lorsque Ariel est present il est toujours sous un projecteur bleu.
Je trouve par contre que le marriage de Miranda et Ferdinand est exagerer. Tous les personnages alors des esprits lors de cette scene sont presents et participent a la celebration et a la danse. De plus, la projection de la vie de Miranda est inutile. En effet je n'ai pas vraiment compris a quoi elle servait dans ce moment la. Si c'etait un jeu avec les pouvoirs de Prospero ou quelque chose de completement different.
Cette tragi-comedie de Shakespear a ete tres bien jouee. J'ai beaucoup apprecie malgres la difficulte de comprendre les monologues et dialogue en ancien anglais.

Anne Malec

Dimanche 4 avril 2010 à 11:15

http://theatrelfs.cowblog.fr/images/newimage.jpgTo Kill a Mockingbird est un roman de 1960 ecrit par l'americain Harper Lee et repris au theatre par Christopher Sergel. C'est l'histoire de deux enfants, Scout et Jem qui ont un pere avocat. Ce-dernier defend au long de la piece un noir, dit innocent de viol envers une blance, ce qui met en danger la vie de ses enfants, insultes, frapes par leur amis.

La piece commence par une chanson qui reaparaitra au long de la piece. Elle est tres rythmee et met en place le theme de la piece qui est le racisme. Tous les acteurs sont alors sur scene ayant comme accessoire un tabouret en metal. On retrouvera cette chanson lors du jugement de l'homme noir et a la fin de la piece. Des cette chanson, on remarque le dynamisme des acteurs.
Le decors est simple, trois porte pour mur de scene, devant, une balancoire. On remarque aussi un empillage de tabourets representant un arbre. Cette utilisation des tabourets est tres diverse au long de la piece : arbre, chaise, prison, table, tombe... Je trouve cela tres original et tres bien pense car lorsque le decor change, les tabourets claquant sur le sol, un rythme est present et laisse le spectateur en halene. Lors du jugement, on voit en mur de scene, que une porte est ouverte donnant sur l'homme emprisonne. Le juge est assis sur un empilement de tabourets. De meme pour les observateurs, temoins et avocats.
Une musique est aussi toujours plus ou moins presente, ce qui accentue l'ambiance dramatique et pleine de suspence. C'est une sorte de bourdonement qui reste le meme au long de la piece.

Je trouve que les acteurs ont tres bien joue. Il y avait un dynamisme et un tres grand plaisir de joue qui etait ressentit par les spectateurs. C'etait tres agreable surtout lorsqu'on le compare a La Boheme de Puccini ou on avait l'impression que les acteurs s'ennuyaient sur scene. Le doyen de la troupe, celui qui joue le pere des enfants, Atticus avait un tres bon jeu. En effet lors du jugement, son visage etait tres expressif. Mais celui des enfants et des autres acteurs aussi ce qui permet une comprehension plus simple de l'histoire et de l'avis des personnages sur le jugement.

To Kill a Mockingbird est une piece tres moderne et tres expressive. En effet apres l'avoir vu on est bien conscient du probleme du racisme et jusqu'a quel niveau cela peut aller. Le noir accuse etait innocent et pourtant celui ci se fait tuer. Meme si, la femme blanche ayant apparament etait viole assume qu'il ne c'est rien passe et que tout etait de sa faute.
On ne peut pas donner de sous genre a cette piece qui parait pourtant etre une tragedie : cela se fini mal et le fils et l'accuse se font tues malgres de nombreuses parties tres humoristiques.
J'ai beaucoup aime cette piece. Malgres un theme tres reccurant dans les pieces modernes du XXe, le texte de C. Sergel et la mise en scene de Goh Boon Teck menent a une piece tres dynamique et tres agreable a voir. Je conseille vivement To Kill a Mockingbird !

Anne Malec

Jeudi 18 mars 2010 à 8:55

L' ATTELLANE

 

 

A l’époque gréco-romaine, le théâtre était un des seuls moyens de divertissement et nombreuses étaient les pièces qui y étaient jouées. Tout le monde pouvait s’y rendre : hommes, femmes, enfants, esclaves. Tandis que l'État appréciait le théâtre car il faisait régner l’ordre en ne montrant que des pièces jouées en faveur de l'État, les citoyens et non-citoyens qui venaient au théâtre l’appréciait pour la diversité des thèmes de ce dernier. Au milieu d IIeme siècle avant J-C, de nombreux types de pièces étaient jouées dans le théâtre romain. Toutes les pièces devaient divertir les gens dans le but de leur trouver un exutoire à leurs émotions, soit par le rire (comédies), soit par les larmes (tragédies). Un des types de pièces les plus appréciées était l' attellane.

 

L' atellane est un genre théâtral latin qui apparaitra tout d'abord en Campanie avant d'être importé puis joué à Rome. Elle puise ses sources dans la Comédie Nouvelle dont elle reprend les costumes en caricaturant parfois les masques de façon outrancière. Les pièces étaient joués en osque, un dialecte de la Campanie, une région d' Italie méridionale d'où est originaire le genre.

 

C' est une courte farce, une pièce improvisée par des jeunes de bonne famille portant un masque et incarnant des personnages de convention comme les personnages types Maccus, Bucco, Dossenus, ou encore des êtres monstrueux comme des ogres. Les pièces étaient essentiellement caricaturale et les personnages étaient grossiers.

 

Ce genre donnera naissance à la Commedia dell'Arte dont les personnages de Pantalon et Polichinelle sont issus. Les nombreux personnages types comme Maccus, Dossenus, ou encore Bucco sont aussi inspirés de la Commedia dell'Arte.

Le demi-masque utilisé dans les attellanes permettait de conserver son anonymat lors d'une pantomime ou au début de l' atellane. Le théâtre grec mettra d'avantage à contribution les masques entiers. Empruntés à la vie quotidienne, les thèmes étaient très simples. L' atellane séduisait par son caractère familier et se servait de l’obscénité pour faire passer des messages aux spectateurs.



Emilien B

Mardi 16 mars 2010 à 12:31

Ce jeudi 11 mars 2010, deuxième jeudi après la rentrée, trois semaines après le stage avec Régis, le groupe était presque au complet. En effet, il manquait une élève à l’appel. Cependant, cette absence ne nous a pas importunés pour la première heure de ce jeudi : nous avons fait une séance au cdi, afin de continuer, par classes, nos recherches sur le théâtre. Les secondes ont avancé leur projet sur le théâtre antique, grec et romain ; les premières sur le théâtre en Asie, et les terminales sur leurs projet dont je n’arrive pas à me rappeler le sujet.
Ensuite, nous sommes descendus a l’amphithéâtre et avons commence l’échauffement corporel habituel : se tapoter légèrement la quasi-totalité du corps avec son point ou le plat de sa main. Puis nous nous sommes échauffés la voix avec des exercices divers  (contrôle du souffle exercice de l’alexandrin, bobine de fil, délie-langue etc.)
Par la suite, nous avons remis en place individuellement nos fils directeurs, afin de se remettre « dans la peau de notre personnage ». La suite est évidente, nous avons fait un filage, qui s’est déroulé normalement, hormis les petits sourires présents sur les visages de tous les slaves et de Ginette lorsque Marion est apparue, poussant son chariot vide et  parlant a une chaise. Mr. Massis nous a ensuite expliqué que nous commencerons la suite et fin de la pièce dans les prochaines  semaines, afin d’avoir de la matière pour travailler samedi 27 mars, lors de notre grande journée de répétition.
Axelle LDA

<< Page précédente | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | Page suivante >>

Créer un podcast